« Je ne suis pas pour la mort de Quotidien » (VIDEO)

Pour une fois, ce lundi 23 septembre Cyril Hanouna a pris la défense de Tous les jours. En fait, le talk-show de Yann Barthès est sous le feu des projecteurs depuis la publication d’une enquête de Télérama, dans laquelle plusieurs salariés dénoncent une ambiance de travail problématique.

Parmi les sources contactées par Télérama, Gilles Verdez évoque « pplusieurs témoignages anonymes “, dont celle d’un graphiste qui estime avoir été licencié après 4 ans de service, pour avoir participé à une grève des intermittents. La production de Tous les jours, a justifié l’éviction de ce dernier en mentionnant « pauses cigarettes prolongées » et autres « actes « .

” Pour moi ces enquêtes c’est : je prends, je jette !

Et Cyril Hanouna gouverner » Les gars, je vais vous dire la vérité. Je suis un gars, anonyme, qui dit « on m’a dit que je n’avais pas de stylo un jour en réunion et que j’avais fumé un peu trop longtemps »… Je suis désolé les gars, mais pour moi ces sondages c’est : je prends, je jette ! »

Cyril Hanouna: “ Je ne suis pas pour la mort de Quotidien”

” PPour moi il n’y a rien là-dedans ! Une personne anonyme qui dit « j’ai travaillé à Quotidien et il y avait un gars qui m’a dit pourquoi tu portais des baskets tu aurais dû porter des mocassins » Je suis désolé, c’est comme le Complément d’enquête sur moi… » l’hôte de TPMPqui évoque le reportage qui lui sera consacré sur France 2 en 2023. Il n’en fallait pas plus à l’animateur pour défendre son concurrent de toujours « Je vais vous le dire et cela va en surprendre plus d’un, mais je ne suis pas favorable à la mort de Quotidien »

” Je ne supporte pas ces méthodes ! »

” Ces journalistes, que veulent-ils ? Ils veulent nuire à Quotidien, arrêter le magazine ? Bangumi doit employer environ 200 personnes, que vont faire ces gens après ça ? Aujourd’hui à la télé, il y a de moins en moins de travail et les émissions quotidiennes emploient beaucoup de monde ! Si Quotidien s’arrête demain, je ne pourrai pas récupérer 200 personnes « Et pour conclure concernant l’enquête de Télérama » Je ne supporte pas ces méthodes ! Ce n’est pas du tout ma façon de penser. Elles font travailler les gens, que l’on aime ou non leur ligne éditoriale. »