Comme chaque semaine, Léa Salamé et ses acolytes reçoivent ce samedi des invités pour évoquer leur actualité. Ce 27 avril, le journaliste accueillera notamment Artus. Après avoir joué dans une vingtaine de longs métrages, dont le biopic Bernadettel’acteur et comédien se lance dans la réalisation avec la comédie Un petit quelque chose en plus. Prévu pour ce mercredi 1er mai, le film raconte l’histoire d’un père et d’un fils qui, après un cambriolage raté, montent à bord d’un bus qui emmène de jeunes adultes handicapés vers une colonie de vacances, loin des policiers qui les recherchent activement. . Au casting de ce film plébiscité par la presse, on retrouve Artus lui-même, Clovis Cornillac, Alice Belaïdi, ainsi que Marc Riso.
Une ancienne star du JT de TF1 ce soir sur le plateau de Quelle époque ! sur France 2
Les téléspectateurs de France 2 auront également le plaisir de rencontrer Claire Chazal. Le journaliste, qui fera une apparition dans la série Fiasco sur Netflix, évoquera ses séances de lecture au Théâtre de Poche-Montparnasse. Depuis le 25 mars, ce passionné de littérature « nous invite à partager ses coups de cœur littéraires » pendant une heure de lecture d’ouvrages. Des séances qui dureront jusqu’au 1er juillet 2024. Hervé Mathoux et Laure Boulleau seront également les invités de Léa Salamé. L’occasion pour le journaliste sportif et l’ex-footballeur de promouvoirAu microune émission dans laquelle ils partaient à la recherche du meilleur commentateur sportif parmi les fans de football âgés de 18 à 64 ans et issus de toutes les catégories professionnelles et sociales.
Le reste sous cette annonce
Qui sont les autres invités du nouveau numéro de Quelle époque ! sur France 2 ?
Wim Hof, plus connu sous le nom de « l’homme des glaces », sera également présent sur le tournage de Quelle époque !, tout comme Claude Atcher. L’ancien patron de la Coupe du monde de rugby profitera de son passage dans l’émission de France 2 pour parler de son livre A l’ombre de la Coupeoù il donne sa version après avoir été licencié par le ministère des Sports suite à des témoignages dénonçant une gestion abusive.
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