Mardi 23 avril, France 3 poursuit la diffusion de la deuxième saison de Face à face, la série avec Claire Borotra et Constance Gay, qui interprètent désormais la chanson du générique de fin. Pour une fois, l’intrigue de ce soir ne se résout pas à la fin du premier épisode mais bien du second qui implique une prise d’otage. Parmi les captifs, Vanessa. En effet, lors de la reconstitution d’un meurtre réunissant le juge d’instruction et son greffier, l’avocat de la défense ainsi que Claire (Clémentine Justine) et Vanessa (Constance Gay) et deux policiers en uniforme, sont entre les mains du suspect, qui a réussi pour obtenir une arme. Comment ? La réponse en fin de soirée.
Face à face : y avait-il de vrais policiers du Raid dans cet épisode ? La réponse de Claire Borotra
Cette prise d’otage est l’occasion pour Justine, terriblement inquiète pour sa sœur qu’elle sait impétueuse, de quitter son bureau. Mais pas question pour autant que le juge reste en retrait ! Casquée et gilet pare-balles sur le dos, elle a même évolué vers un commando du Raid, qui comprenait des policiers de cette unité d’intervention spécialisée. “Il y avait de vrais policiers lors du raid, révèle Claire Borotra, l’interprète du Juge Rameau rencontrée lors du retour de la série sur France 3. C’était amusant de se déplacer parmi tous ces hommes armés. j’avais aussi un ami boxeur qui est venu faire de la figuration. C’est toujours payant de voir Justine complètement en dehors de l’univers dans lequel elle évolue. Et pour sa sœur, encore une fois, elle prend des risques. Elle devient à son tour “frontière” par amour. Cette évolution des sœurs est plutôt sympa.
Le reste sous cette annonce
Face à face : les invités de cet épisode séduiront les fans de fiction française
Tension, émotion et humour ponctuent ce double épisode intitulé Faux-semblants. Les amateurs de fiction française seront également séduits par le casting qui réunit Joseph Malerba (On va s’aimer un peu, beaucoup…), Baptiste Masseline (Nus) et Cécile Rebboah, vue dans pléthore de fictions et dont la présence est toujours la bienvenue. Sans oublier Marianne James, littéralement enchantée par son premier rôle récurrent.
