Le match contre Benfica était tout simplement surréaliste. Entre erreurs, rebonds et pénalités, une scène extraordinaire s’est déroulée ; Barcelone, malgré ses insuffisances défensives, a montré une détermination à revenir d’une situation qui semblait quasiment impossible à la mi-temps.
À ce moment-là, alors que tout espoir semblait perdu, comme un présage prophétique d’une fête des buts à venir, une tempête s’est abattue sur Lisbonne, ajoutant une touche dramatique à l’atmosphère. “Un match qui ne passera pas inaperçu”, ont déclaré certains sur les réseaux sociaux. En effet, c’est un match qui nécessite une analyse approfondie. Au-delà de l’aspect crucial du résultat et de la qualification directe pour les huitièmes de finale, les nuances les plus sombres du jeu étaient évidentes dans les secteurs inférieurs du terrain, marqués par une défense désorganisée et lente, et des inquiétudes du côté du gardien. Wojciech Szczęsny est sorti de sa zone d’une manière qui évoquait assez étrangement les quatre premières lettres de son nom.
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Nous l’avons observé lors de la finale de la Super Coupe, et ce schéma récurrent a refait surface ; il ne semble pas physiquement préparé pour concourir à ce niveau. On ne peut pas attendre grand-chose de quelqu’un qui semblait profiter de sa retraite dans une demeure sous le soleil andalou il y a quelques semaines à peine. Il est difficile de prétendre le contraire ; Iñaki devrait être le gardien titulaire en attendant le retour en forme de Marc-André ter Stegen, en espérant éviter une recherche sur le marché estival.
Sans un gardien de but fiable, il est incroyablement difficile de maintenir la régularité dans les compétitions, notamment en Europe. Le bon côté de ce match, au-delà du résultat favorable, a été le véritable magicien de cette équipe, Pedri, un joueur dont les contributions sont souvent sous-estimées par les statistiques car elles ne parviennent pas à résumer son impact sur le terrain. Il comprend le jeu comme personne, sait quand ralentir et anticipe les actions de ses adversaires.
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Il trouve des espaces là où il semble n’y en avoir pas et insuffle le sens du football à tous ses coéquipiers. Il est le véritable artiste, non seulement dans ce chef-d’œuvre surréaliste créé ce soir, mais dans chaque match joué cette saison. L’histoire continue de se dérouler ; l’équipe est restée engagée jusqu’à la dernière minute, et malgré le chaos d’aujourd’hui, la persévérance et l’envie ont renversé la tendance du score. C’est le genre de matchs qui se sont soldés par un désastre au cours des saisons passées, mais sous la direction de Flick, nous avons désormais la capacité de renverser des situations difficiles.
Le manager allemand, vêtu d’un imperméable, est un autre artisan de ce retour ; ses ajustements tactiques et ses substitutions se sont avérés essentiels pour obtenir les trois points. Comme Cruyff l’a dit un jour : « Je préfère gagner 5-4 plutôt que 1-0 ». En effet, un match pour les âges, un concours surréaliste, un chef-d’œuvre de Dali.
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