non-lieu pour les deux plaqueurs à l’origine de la mort tragique du jeune Espoir du Stade Français en 2018

La justice a rendu son verdict. Plus de six ans après la mort tragique de Nicolas Chauvin, jeune Espoir du Stade Français, quelques jours seulement après avoir été victime d’un double plaquage à la tête, l’enquête s’est penchée sur cet homicide involontaire et a statué jeudi sur sa décision.

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Le tribunal judiciaire de Bordeaux a prononcé un non-lieu pour les deux joueurs à l’origine du plaquage, selon les informations du Parisien. Le quotidien rapporte que l’enquête s’est appuyée sur la responsabilité pénale des deux plaqueurs, même si elle a démontré la faute sportive de ces derniers. Ainsi, ceux qui ont joué sous les couleurs de l’Union Bordeaux-Bègles ce jour du 9 décembre 2018 ne seront pas poursuivis par la justice.

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Le Parisien révèle également que le tribunal judiciaire de Bordeaux aurait alors reconnu Nicolas Chauvin comme « responsable » de ce drame, en s’appuyant sur le fait que le jeune joueur avait « fléchi le tronc et baissé la tête » juste avant un choc d’une rare violence, déchirant sur la deuxième vertèbre cervicale du joueur francilien. « On n’envoie pas nos enfants mourir par terre », disait son père, Philippe, au Parisien en 2023. Les parents de Nicolas Chauvin devraient également faire appel de ce non-lieu.