Devant les médias, Justin Trudeau s’est décrit comme « un combattant » (un combattant) qui ne recule pas « si facilement devant un combat » et qui fait « ça » emploi » parce qu’il a à cœur « les intérêts des Canadiens et le bien-être de notre pays, de notre démocratie ».
Il a déclaré avoir eu pendant les vacances « l’occasion de réfléchir et d’avoir de longues conversations » avec sa famille. « Alors, hier soir, au dîner, j’ai partagé avec mes enfants la décision que je partage avec vous tous aujourd’hui : j’ai l’intention de démissionner de mes fonctions de chef du Parti libéral du Canada et de premier ministre une fois que le parti aura choisi son prochain chef à la suite d’une processus national, rigoureux et compétitif », a-t-il annoncé.
Justin Trudeau a été largué par les principaux caucus régionaux de son parti politique pendant les fêtes, dont sa vice-première ministre et ministre des Finances, Chrystia Freeland, qui a claqué la porte du cabinet à la mi-décembre le matin même de la présentation de son projet de loi. déclaration économique.
Le Premier ministre, au pouvoir depuis près de dix ans, risquait de se faire mettre à la porte lors d’une révolte au sein de son caucus qui aurait probablement eu lieu lors d’une réunion prévue mercredi.
Il touche aussi le fond des intentions de vote depuis près de deux ans, alors que les sondages continuent de placer les libéraux loin derrière les conservateurs en prévision des prochaines élections fédérales, qui doivent avoir lieu au plus tard à l’automne.
“Le pays mérite un choix clair et réel lors des prochaines élections”, a insisté lundi le Premier ministre.
– By Michel Saba, with information from Émilie Bergeron
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