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L’armée ukrainienne a répondu aux rumeurs concernant des « problèmes » au sein de la brigade « Anne de Kiev », en partie entraînée et équipée par la France, après des révélations dans la presse sur des cas d’abus de pouvoir et de désertions.
Le commandant des forces terrestres ukrainiennes Mikhaïlo Drapaty a reconnu lundi 6 janvier des « problèmes » au sein de la brigade « Anne de Kiev », en partie entraînée et équipée par la France, après des révélations dans la presse sur des cas d’abus de pouvoir et de désertions. “Je confirme bien sûr qu’il y a eu des problèmes avec le commandement et le processus de formation”, a-t-il reconnu dans plusieurs médias.
Un nombre « minime » de désertions de militaires formés en France
“Dans la mesure du possible, tous ces problèmes sont en train d’être résolus”, a-t-il poursuivi, assurant que le nombre de désertions de militaires formés en France était “minime”.
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En revanche, l’armée ukrainienne a affirmé «infliger des pertes» aux forces moscovites dans la région russe de Koursk, où elle contrôle des centaines de kilomètres carrés de territoire depuis août 2024, date à laquelle Moscou affirme que Kiev a lancé une nouvelle offensive dans cette zone frontalière. « Dans la région de Koursk, nous infligeons constamment des pertes » aux Russes, a déclaré Mikhaïlo Drapaty sans donner plus de détails sur l’opération en cours.
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