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il gravit les échelons au sein de cette entreprise et prend la barre

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Editorial Courrier du Pays de Retz

Publié le

28 décembre 2024 à 6h46

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Après vingt ans à la tête du Maçonnerie d’Acheneaubasé dans la zone artisanale de Mottay, à Rouans (Loire-Atlantique), Julien Allais passes the torch to David Vergne, Aurélien Garnier and Mickaël Quaegebeur, in a transition carefully orchestrated for three years.

Une transmission qui s’inscrit dans une logique de continuité et de développement maîtrisé.

Il a gravi tous les échelons

David Vergne, originaire du Sicaudais (Chaumes en Retz), incarne parfaitement la réussite du développement interne.

En dix-sept ans au sein de l’entreprise, il gravit les échelons avant d’en prendre officiellement les commandes au début du mois.

Nous l’avons formé, il a gravi les échelons et le voici numéro 1. »

Julien Allais, former manager of the Maçonnerie de l’Acheneau

Une reprise préparée depuis deux ans

Cette transmission ne doit rien au hasard. Depuis deux ans, David Vergne et ses associés, deux Chaléonnais, Aurélien Garnier et Mickaël Quaegebeur, ancien apprenti de l’entreprise, préparent cette reprise.

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« Ils étaient déjà entrés au capital avec l’idée d’en prendre le contrôle », explique l’ancien dirigeant. Chacun a fait sa marque, est devenu autonome et sonne désormais l’heure de la passation de pouvoir.

Une success story entrepreneuriale

L’histoire de la Maçonnerie de l’Acheneau est exemplaire : débutée avec cinq salariés, l’entreprise compte aujourd’hui une vingtaine d’employés. Croissance maîtrisée qui démontre une saine gestion et une vision à long terme.

L’accent sur la formation

La nouvelle équipe entend poursuivre sur la voie tracée : « Nous n’allons pas révolutionner la maçonnerie Acheneau », affirme David Vergne. L’accent restera mis sur la formation, considérée comme « le vivier de demain ».

Cette reprise représente en effet un engagement financier important pour les repreneurs, incluant l’achat des parts et des locaux.

« C’est une belle histoire, une belle passation de pouvoir positive », conclut l’ancien dirigeant, visiblement satisfait de voir son entreprise entre de bonnes mains.

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