Par
Domfront Editorial
Publié le
26 décembre 2024 à 11h38
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Le lassitude et la colère du personnel soignant étaient palpables, lors de la manifestation organisée le samedi 21 décembre 2024 pour l’hôpital de Mayenne en Mayenne.
Les revendications suite au conseil municipal surveillance le mardi 17 décembre n’a pas arrangé les choses.
Maternité fermée
« Dans les deux les prochaines semainesl’État ne garantira plus la sécurité de l’hôpital, à cause des coupes budgétaires. De plus, nous aurons un maternité fermé.
En conséquence, il ne sera plus possible dedonner naissance en Mayenne…», indiquent les manifestants.
“Pas assez d’anesthésistes”
Tout cela sans oublier les interventions chirurgicalesurgence suspendu, fautes d’un nombre suffisant d’anesthésistes, capacités services médicaux réduits de moitié, les urgences réglementées ou fermées plusieurs nuits, les SMUR fonctionnant sur une ligne pointillée.
Bref, avec tout cela, le personnel de santé est « à bout de souffle ».
Déjà, de nombreuses personnes quittent leur emploi qui les fascine pourtant, pour se tourner vers un horizon plus serein.
Un service sauvé en 2021
Tout le monde insiste pour faire demi-tour, de toute urgence. ” De la ressources humaines les exceptionnels doivent être libérés», scandent-ils.
Pascal Grandet, d’Audace 53, surenchère : « L’État doit assumer ses responsabilités.
Il a le responsabilité pour nous garantir le droit aux soins », Explains Pascal Grandet, president of Audace 53.
Parfois le mobilisation paie, et c’est pourquoi ils n’abandonneront pas.
En 2021, ensemble, ils ont sauvé le service de chirurgie, leUnité de surveillance Continuer.
LE manifestants s’appuient sur les termes du 11e alinéa du préambule de 1946 : « La Nation garantit à tous, notamment aux enfants, aux mères et aux travailleurs âgés, la protection de la santé qui requiert le droit aux soins ».
Mais est-ce encore le cas aujourd’hui ? Pour les grévistes, la question demeure.
Surdité
« Face à la surdité de ceux qui nous entendent, il n’y a pas d’autre solution que de descendre dans la rue pour faire bouger les choses », conclut Pascal Grandet.
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