Noël coûte de plus en plus cher et l’inflation rattrape le doux protagoniste du réveillon du Nouvel An. Avec l’inflation des prix des matières premières, les prix des bûches de Noël vont encore augmenter. L’inquiétude est grande dans la pâtisserie parisienne, ce dessert phare représente une part importante de leur chiffre d’affaires à cette période de l’année.
Entre macarons et croissants, la bûche de Noël est la reine du moment. Alfred en achète plusieurs chaque année et cette année c’est plus cher que d’habitude. 117 euros pour trois bûches, une grande et deux petites. Outre l’énergie et la main d’œuvre, le coût des matières premières a augmenté, notamment celui de l’ingrédient clé.
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« On achetait du bon chocolat pour huit ou neuf euros »
« Le chocolat est en hausse d’environ 25 %. Avant, on achetait du bon chocolat pour 8 ou 9 euros. Aujourd’hui, je peux vous assurer qu’on l’achète 12-14 euros au même prix. « Si je veux pouvoir acheter du bon beurre, du bon chocolat et de bons collègues, je dois vendre au juste prix », dit Arnaud Montel. , directeur d’une pâtisserie parisienne.
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Au final le prix du coffre est passé de 33 à 35 euros. Mais rien qui puisse dissuader les clients. « Nous gérons cela, c’est comme ça. Il faut que ça ait des répercussions, bien sûr, mais on adore ça une fois par an, on l’ignore et on s’adapte”, a déclaré Stéphanie au micro d’Europe 1. Au lieu de l’habituel. deux bûches, Stéphanie n’en mettra qu’une sur sa table de Noël.
En considérant l’ensemble des produits, le mois de décembre représente environ 25% du chiffre d’affaires d’une pâtisserie classique et encore plus lorsque la pâtisserie utilise beaucoup de chocolat dans ses emballages.
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