Marine Le Pen s’est dite mardi “horrifiée” que les Syriens aient à choisir entre l’ancien président syrien Bachar al-Assad, “un dirigeant terrible”, qui a fui le pays face à l’offensive des groupes rebelles, et “les jihadistes”. . “
“Je suis horrifié que le peuple syrien puisse choisir entre Bachar al-Assad et les jihadistes”, a déclaré le chef du Groupement national des députés à l’Assemblée nationale. « C’est ça qui est terrible. A la place d’un leader terrible, nous remplacerons des gens que je considère a priori dangereux pour les libertés individuelles, pour la liberté des femmes, pour la démocratie, pour la liberté d’expression”, a-t-il ajouté.
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Marine Le Pen s’est également dite “un peu surprise de voir le Quai d’Orsay se réjouir d’une manière (à son avis) inappropriée à l’arrivée au pouvoir des jihadistes”. Selon elle, le projet du gouvernement visant à suspendre éventuellement les demandes d’asile en provenance de Syrie est « une première étape ». Il espère le “retour” des réfugiés syriens “dans leur pays”, “car on ne peut pas être réfugié toute sa vie”.
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