Selon un rapport de Reuters, l’armée israélienne a déclaré qu’elle n’interviendrait pas dans les événements en cours en Syrie.
Cependant, Tsahal a indiqué avoir déployé des forces dans une zone tampon surveillée par les Nations Unies, ainsi que plusieurs « points stratégiques » nécessaires à la défense du pays.
A l’aube du dimanche 8 décembre 2024, l’opposition armée syrienne est entrée dans la capitale Damas, tandis que des informations confirmées par les médias évoquent la fuite du président syrien Bashar Al-Assad vers une destination inconnue.
Il n’a fallu que dix jours aux rebelles dirigés par le groupe Hayat Tahrir Al-Sham pour entrer dans Damas et échapper au président Bashar Al-Assad.
Dimanche, le Premier ministre s’est dit prêt à collaborer avec la “direction” choisie par le peuple et dans toute procédure de “transfert” du pouvoir.
La chute rapide du régime syrien s’explique par un échiquier géopolitique extrêmement complexe et surtout par la position des alliés du régime, comme la Russie et l’Iran, qui n’ont pas soutenu Al-Assad.
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