« Il faut continuer à penser positivement »

La semaine dernière, vous parliez d’insister, d’insister, d’insister. Vous avez beaucoup insisté aujourd’hui mais vous n’avez pas pu. Ce qui se passe?

«Je pense que nous avons persisté. Et je ne connais pas d’autres formules. Insister, insister, insister ? Toujours. »

L’entraîneur auxerrois a déclaré que c’était une victoire. Qu’en pensez-vous et en tant que coach, est-il difficile d’analyser la situation et de trouver des solutions ? A chaque fois c’est serré, ce soir le gardien.

« Aujourd’hui, le gardien était très fort. On a eu 25 situations (de but), c’est le deuxième meilleur résultat de L1 à domicile derrière nous. Nous avons fait du bon travail offensif et nous ne perdrons pas confiance, nous écouterons les critiques et nous serons préparés. Et on insistera, on insistera, on insistera. »

J’ai aimé ce que vous avez proposé ce soir et cela n’a pas été pertinent et vous devez continuer…

« Je sais, je sais (rires). Le problème est que tout le monde derrière nous est tellement négatif qu’ils se demandent où sont les erreurs, de quoi avons-nous besoin. Il faut insister, marquer, c’est le sport où il faut marquer des buts. Mais je suis content de la performance de l’équipe. Ce n’est pas le résultat, mais nous devons continuer à penser positivement. »

Après Fabian Ruiz contre Nantes, c’est Zaïre-Emery qui s’alignait dans la ligne à trois lorsque le PSG avait le ballon. Preuve que les environnements doivent être polyvalents.

« Ce sont des consignes que nous avons, car nous sommes une équipe où il faut de la mobilité, de l’incertitude. Fabian, Vitinha, parfois Nuno, tout dépend de cette mobilité et c’est ce qui nous plaît. Nous voulons démontrer notre supériorité, nous nous sommes créés beaucoup d’occasions et en avons concédé peu, mais je n’ai pas la formule magique car il n’y a pas de résultat. »