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«Informations sensibles»… «48 000 soldats russes ont disparu», le cousin de Vladimir Poutine tire la sonnette d’alarme

Anna Tsivilyova est également vice-ministre russe de la Défense.

Guerre en Ukrainejour 1016.

Les pertes russes sont difficiles à quantifier.

Du côté ukrainien, le ministère de la Défense tient un décompte. Mais il s’agit de « personnel éliminé ». A savoir les morts, les blessés ou les personnels rendus inaptes au combat. Ce jeudi 5 décembre 2024, ce chiffre subjectif et surtout non officiel atteint la bagatelle de 748 950 unités.

« L’échec ne me rattrapera jamais si ma détermination à réussir est suffisamment forte. »
Et Mandino

Les pertes au combat de l’ennemi du 24 février 2022 au 5 décembre 2024. pic.twitter.com/aBVl5JM8V9

– Défense de l’Ukraine (@DefenceU)

Tests ADN

Aujourd’hui, l’actualité bouleverse les médias ukrainiens. Le cousin de Vladimir Poutine, Anna Tsiviliovaégalement vice-ministre russe de la Défense, aurait déclaré que 48 000 soldats russes étaient portés disparus. Un chiffre avancé lors d’une table ronde de la Douma russe tenue le 26 novembre. Lors de cette réunion, elle a précisé que son ministère avait reçu autant de plaintes et de demandes de tests ADN de la part de familles ou proches de soldats envoyés au front en Ukraine et donc disparu depuis. Anna Tsivilyova a même déclaré que son propre ADN avait été récolté et stocké dans une base de données.

u26a1ufe0f 48 000 soldats russes pourraient être des MIA en Ukraine, révèle un proche de Poutine.

La vice-ministre russe de la Défense, Anna Tsivilyova, a laissé échapper que le ministère avait reçu 48 000 demandes de tests ADN de la part de proches cherchant des informations sur les soldats du MIA en Ukraine.

En savoir plus:…

– L’Indépendant de Kyiv (@KyivIndependent)

Des chiffres qui reflètent les plaintes déposées et non les pertes. Certains des militaires en question seront effectivement retrouvés. Mais cette statistique constitue l’un des rares aveux russes en la matière, ceux qui avaient promis une opération spéciale rapide et qui s’enlisent pourtant en Ukraine depuis près de trois ans. Selon les propos d’Andreï Kartapolov, président du Comité de défense de la Douma d’État, rapportés dans les colonnes du Kiev Independent : « Ce sont des informations sensibles. Lorsque nous finaliserons les documents, nous devrons veiller à ce que ces chiffres ne soient pas rendus publics. ».

 
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