C’est une histoire à peine croyable, révélée ce vendredi par nos confrères d’Objectif Gard. Un médecin conclut qu’un Gardois de 54 ans décédé en début de semaine dans une clinique d’Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, est décédé de causes naturelles. Cela semble être un suicide. Sauf que lorsque le corps fut restitué à la famille près du Vigan (Gard) deux jours plus tard, au moment de la toilette mortuaire, un le directeur des pompes funèbres découvre un couteau planté dans le thorax du quinquagénaire.
Le médecin venu constater le décès n’a pas constaté la présence d’un Couteau de 33 cm de long. Pour sa défense, il était enfoui jusqu’au bout du manche et n’apparaissait pas au premier coup d’œil dans la région thoracique du quinquagénaire.
De quoi soulever des questions sur les causes du décès, qui ont conduit à l’ouverture d’une enquête et à une demande d’autopsie du cadavre qui sera pratiquée ce lundi à Nîmes comme l’a précisé le procureur de la République d’Alès Abdelkrim Grini. « Une autopsie est nécessaire. En fonction des conclusions de l’autopsie, si la thèse du suicide se confirme, la procédure s’arrêtera là. Mais si le thèse de l’intervention d’un tierset donc une éventuelle piste pénale, si elle se dessinait, l’enquête serait confiée au parquet de Marseille, puisque les faits se sont produits à Aubagne.
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