Les banques palestiniennes ne savaient pas ce que l’avenir leur réserverait, mais à un jour de son expiration, Israël a finalement prolongé d’un an l’accord bancaire israélo-palestinien. Si cela n’avait pas été fait, les institutions financières palestiniennes auraient pu être paralysées.
Avec notre correspondant à Ramallah, Alice Froussard
C’est jeudi 29 novembre, lors d’un conseil de sécurité, que la mesure a finalement été approuvée : les banques israéliennes peuvent continuer à collaborer avec les banques palestiniennes.
Une décision fortement encouragée par Joe Biden et ses alliés occidentaux, en particulier les Royaume-UniLa France et l’Allemagne, qui craignaient un effondrement de l’Autorité palestinienne.
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Cela illustre surtout le fait que l’économie palestinienne dépend avant tout des relations que les banques entretiennent avec leurs homologues israéliennes, notamment pour traiter les transactions, qui s’effectuent en shekels puisque les Palestiniens n’ont pas leur propre monnaie.
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