Il est une véritable icône pour la jeune génération et compte au total rien que sur son compte Instagram, 4,3 millions d’abonnés. Mais si elle est très présente sur les réseaux sociaux et sur les tapis rouges du monde entier, Aya Nakamura se fait discrète dans les médias, n’accordant que quelques interviews sporadiques.
Pourtant, c’est le plateau de C pour toi sur France 5, ce jeudi 28 novembre, qu’elle a choisi rétablir certaines vérités autour de deux temps forts qui ont rythmé son année : sa participation au défilé Vogue World place Vendôme et la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 cet été. Deux événements étroitement liés pour le juge La nouvelle école sur Netflix, à bien des égards. En effet, lorsque sa présence aux Jeux olympiques a été révélée, des rumeurs se sont répandues selon lesquelles la chanteuse reprendrait La vie en rose d’Édith Piaf a circulé, suscitant de nombreuses polémiques.
Une étoile à la rescousse
Devant les éditorialistes et Anne-Élisabeth Lemoine, l’artiste multi-primée aux NRJ Music Awards a rétabli la vérité, confiant qu’elle devait chanter ce monument du répertoire français au défilé Vogue World, et non aux Jeux Olympiques : “En gros, je devais chanter Edith Piaf à cette époque, ce n’était pas aux JO que je devais la chanter”a-t-il déclaré avant de continuer, «Quand il y avait des controverses, je disais : ‘Bon, si je fais ce truc, je ne chante pas Édith Piaf, je fais mon propre morceau comme ça pour les JO, on sera content’, parce qu’ils l’ont dit : “Cela ruinerait la polémique si vous chantiez ce truc”, ils en ont fait toute une histoire.
Aya Nakamura : “Je n’aurais pas dû faire ça du tout.”
Par ailleurs, l’interprète de Djadja il s’est presque retrouvé au centre d’un conflit d’intérêts entre ces deux rendez-vous phares de son agendacomme il l’explique : « Avant de faire cet événement (Vogue World Paris, ndr), il y avait un peu de confusion avec les JO parce que je devais être un peu outsider pour participer aux JO, car ils étaient à Paris ».
Il ajoute avoir reçu le soutien d’une grande star internationale : Anna Wintour. “Les Jeux olympiques ne voulaient pas que je le fasse, alors Anna Wintour a expliqué un peu aux Jeux olympiques pourquoi je devais le faire.”dit-il avant de conclure, “donc je n’aurais pas dû faire ça, mais je voulais le faire quand même, c’est Vogue World.”. Surnommé le papa de la mode, quoi de mieux ?
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