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« 20 enquêteurs sont mobilisés en permanence »

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Près de huit mois après la découverte des ossements d’Émile, l’enquête pour faire la lumière sur les circonstances de sa mort se poursuit, comme le confirme Hubert Bonneau, le directeur général de la Gendarmerie nationale française.

Le 30 mars 2024, un randonneur mettait fin à près d’un an de recherches pour retrouver le petit Émile, qui avait échappé à la surveillance de ses grands-parents maternels le 8 juillet 2023. L’analyse des ossements confirmait alors qu’il s’agissait bien de ceux du garçon, et avait permis d’identifier un ADN humain inconnu. Ces prélèvements n’ont malheureusement pas levé le voile sur les circonstances du drame. Ce jeudi 28 novembre sur RTL, Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, a assuré que les investigations pour comprendre le déroulement des événements se poursuivaient.

« Il y a 20 enquêteurs mobilisés en permanence »a-t-il notamment révélé au micro d’Amandine Bégot. « C’est une question évidemment très complexe. De nombreuses évaluations sont actuellement réalisées par des experts de l’IRCGN (Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie), qui comparent les résultats et les étudient.a également développé l’ancien commandant du GIGN, avant de souligner l’implication totale des gendarmes, « qui continuent de travailler dur sur cette question ».

Toutes les hypothèses encore étudiées pour comprendre la mort d’Émile

Selon Hubert Bonneau, toutes les pistes plausibles, y compris la théorie de l’accident, restent étudiées à ce stade. « Nous n’excluons rien dans cette affaire. Nous avons affaire à un fait divers, mais derrière, il y a des familles. Donc le travail des gendarmes est à l’image du cas de la jeune Lina”a-t-il déclaré, évoquant l’autre grosse affaire de l’année dernière, également partiellement résolue le 16 octobre avec la découverte de son corps près de Nevers. « Notre travail consiste aussi à découvrir la vérité pour que les familles puissent faire leur deuil. C’est un devoir que nous avons envers les familles. C’est la chose la plus importante »a insisté le militaire qui aura bientôt 58 ans.

 
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