Le 30 mars 2024, l’enquête sur la disparition du petit Émile s’accélère subitement lorsqu’un promeneur tombe sur le crâne de l’enfant. Depuis, les vêtements et les os du garçon ont été retrouvés et analysés. Celles-ci ont permis d’identifier un ADN humain inconnu et étranger à la famille d’Émile..
« C’est un dossier évidemment très complexe », reconnaît Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, invité sur RTL. « Il y a beaucoup d’expertises qui sont faites actuellement par les experts de l’IRCGN, l’Institut de recherches criminelles de la gendarmerie, qui comparent les résultats et les étudient. (…) Les gendarmes, je voudrais le dire, continuent de travailler dur sur ce fichier. Il y a 20 enquêteurs mobilisés en permanence.
Ces enquêteurs mobilisés travaillent sur la théorie de l’accident, mais pas seulement. « Nous n’excluons rien dans cette affaire. Nous avons affaire à un fait divers, mais derrière, il y a des familles. Le travail des gendarmes est donc à l’image du cas de la jeune Lina. Notre travail est aussi de découvrir la vérité pour que les familles puissent faire leur deuil. C’est un devoir que nous avons envers les familles. C’est le plus important», assure le gendarme.
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