Nintendo Switch2
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Cela ne vous aura probablement pas échappé si vous quittez le site Numérique ou Internet de nos jours : il ne se passe presque pas une semaine sans qu’une information concrète n’apparaisse, une rumeur plausible ou une rumeur un peu folle sur la prochaine console de jeux de Nintendo. Essayons donc dans cet article de faire le point. On commencera par rappeler que ce que tout le monde appelle par commodité « Nintendo Switch 2 » n’a pas encore de nom officiel.
Avant de commencer, précisons que cet article a été rédigé avec les pincettes habituelles (ce qui n’est pas très pratique, vous en conviendrez). Nous vous invitons donc à prendre le vôtre lors de votre lecture. La plupart des informations incluses ici proviennent de rumeurs que Nintendo a rarement officialisées.
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Quelle date de lancement pour la Nintendo Switch 2 ?
L’une des rares informations pratiquement certaines sur la Nintendo Switch 2 vient de Nintendo et. L’entreprise a officiellement annoncé qu’une nouvelle machine serait présentée (et non lancée) d’ici la fin de l’exercice, soit mars 2025 au plus tard.
Même s’il est peu probable que le constructeur surprenne tout le monde avec un lancement d’ici fin 2024 – tant pis pour les cadeaux de Noël – si l’on est très optimiste, un miracle est toujours possible. Rappelons que la Nintendo Switch a été présentée à l’automne 2016, puis lancée en mars 2017.
Un lancement au second semestre 2025 est aujourd’hui la chose la plus plausible, ou un peu plus tôt pour lancer un nouvel exercice en beauté, d’autant que nous n’avons plus de nouvelles du démarrage de la production depuis fin octobre.
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Un dessin probablement assez proche
Passons maintenant au cœur des conjectures. D’après les rendus 3D apparus sur Internet (et qui valent donc ce qu’ils valent, ce qui n’est pas grand-chose), la Nintendo Switch 2 serait très proche de sa grande sœur. Ce serait encore une console portable marginale avec des manettes détachables et les boutons habituels.
En revanche, l’écran passerait de 7 à 8 pouces (OLED ? LCD ?), les Joy-Cons amovibles seraient repensés pour fonctionner magnétiquement et les sticks analogiques bénéficieraient d’un nouveau design. De plus, non pas un, mais deux ports USB-C seraient inclus. Deuxième écran, accessoires… : l’utilité de cet hypothétique deuxième port reste à découvrir.
La question du dock pour connecter la console à un téléviseur reste entière. Même chose pour la batterie qui serait meilleure, ou pour le taux de rafraîchissement de l’écran, que certains prédisent à 120 Hz.
Performance sérieusement revue à la hausse
Souvent critiqué pour les mauvaises performances de sa console, Nintendo pourrait monter en puissance, au-delà des inévitables améliorations matérielles après plus de sept ans de bons et loyaux services, bien sûr. Les rumeurs dans ce domaine vont et viennent, mais on parle de graphismes au moins équivalents à ceux d’une PlayStation 4. Pour les fans de “spécifications techniques”, la dernière rumeur évoque un processeur Cortex-A78AE, 8 Go de RAM et 64 Go de espace de stockage.
Les technologies Nvidia, telles que DLSS ou lancer de rayonssont également évoqués, alors qu’avec le dock il serait possible d’atteindre une résolution 4K (1080p pour la console uniquement). L’intelligence artificielle pourrait aussi être utilisée pour améliorer les performances, mais encore une fois nous sommes dans le domaine des pnicetets : ce n’est décidément pas pratique d’écrire avec des pincettes…
Une console rétrocompatible avec la Switch
Élément rare confirmé directement par Nintendo : comme pour la plupart de ses précédentes consoles, les jeux de la première Switch fonctionneront sur la nouvelle. Celui-ci devrait donc prendre en charge les jeux physiques et numériques, tandis que l’abonnement Nintendo Switch Online devrait également revenir. Reste maintenant à voir quelles autres fonctionnalités la console inclura. Et si, par exemple, il cédait au cloud gaming ou, pour être encore plus fou, à la réalité virtuelle ?
Quel prix pour la console Nintendo ?
Terminons par la question qui fâche : le prix. Outre l’inflation, un matériel plus ambitieux, une concurrence assez limitée dans le secteur des consoles portables et aussi la politique récente de Nintendo, il faut s’attendre à un prix supérieur à celui de la première Switch. Celui-ci a été lancé à 300$, puis 350$ pour la version Oled. Certains tablent sur des prix allant de 400 $ à plus de 500 $, surtout si l’entreprise décide de lancer plusieurs versions dès le départ.
Comme cela se produit déjà chez d’autres éditeurs, le prix des titres de jeux vidéo pourrait également augmenter, passant des 60 dollars classiques à un maximum de 70 dollars.
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