Ce dimanche s’est tenue l’assemblée des actionnaires du Real Madrid, où ont été discutés les finances et la situation actuelle du club. Florentino Pérez en a profité pour mettre en avant les principaux rivaux des Merengues.
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Pour le président de cette prestigieuse institution, plusieurs footballeurs nuisent non seulement au sport mais aussi au club madrilène lui-même. La liste des ennemis comprenait des organisations telles que la Liga, l’UEFA, la FIFA et surtout l’organisation du Ballon d’Or, qui, selon Pérez, a perdu toute crédibilité.
Lors de son discours, Florentino a exprimé la chance qu’il avait de diriger le meilleur club du monde, mais le message ne s’est pas arrêté là. Il a lancé de vives critiques à la FIFA, l’accusant d’augmenter les périodes de black-out international, et à l’UEFA concernant le format de la nouvelle Ligue des Champions.
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Selon Pérez, ces changements n’affectent pas seulement les clubs mais aussi les joueurs, qui sont soumis à un calendrier de plus en plus chargé.
Concernant le Ballon d’Or, le président a réitéré que le vainqueur aurait dû être un joueur de la Maison Blanche et a exprimé son mécontentement quant au processus de vote pour ce prix. Par ailleurs, lors de l’édition 2024, aucun membre ou représentant de l’institution merengue n’était présent à la cérémonie.
“Rodri jouit de l’affection et de la reconnaissance du Real Madrid car il mérite sans aucun doute un Ballon d’Or, mais pas cette année. Son Ballon d’Or, c’était l’année dernière lorsqu’il avait réalisé le triplé et marqué de manière décisive en finale de la Ligue des Champions (…) Il est évident que cette année le Ballon d’Or aurait dû être attribué à un joueur du Real Madrid, quels que soient les critères que vous choisissez », a-t-il déclaré.
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Le président a souligné que l’influence de l’UEFA sur le prix avait contribué à sa perte de crédibilité et de prestige. Il a également expliqué que l’implication de journalistes “que personne ne connaît” a altéré le résultat de Vinicius Jr., qui selon lui aurait dû remporter le Ballon d’Or.
« Cette année, des journalistes de pays de moins d’un million d’habitants ont participé pour la première fois. De plus, personne ne les connaît. Avec ces règles, il s’avère que, par exemple, sans l’impact des votes des journalistes de seulement quatre pays comme l’Ouganda, la Namibie, l’Albanie et la Finlande, Vinicius aurait remporté le Ballon d’Or”, a-t-il conclu.
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