En maître de cérémonie, Boris Tilmischenko, président de la section Deux-Rives de la Fnam-AC (Fédération nationale des anciens combattants André-Maginot), a confié la lecture à une jeune étudiante, Loïse Martinet, quelques jours avant ses 9 ans.
Comme son frère l’année dernière
Elle a lu le texte de l’Ufac (Union française des associations de combattants) avec une confiance remarquable, comme son frère l’avait fait lors des deux éditions précédentes. « L’Ufac agit résolument et avec persévérance pour la paix envers les jeunes générations. » Le bourgmestre Lido Marchiol a pris sur lui de lire le message du ministère des Armées : « C’était il y a 106 ans, en 1918. A la onzième heure du onzième jour du onzième mois, de la boue des Flandres aux Suisses. frontière, les clairons jouent les notes du cessez-le-feu. A la fierté de la victoire s’ajoute le cortège de tous ces sacrifices que nous commémorons aujourd’hui, auquel s’ajoute, depuis 2012, celui de tous les morts pour la France. La « Marseillaise » a conclu dimanche 10 novembre une cérémonie attendue et très fréquentée, notamment par de nombreux enfants. « C’est assez réconfortant pour tout le monde, parents et anciens combattants, de voir des enfants s’intéresser au devoir de mémoire », confie un parent d’élèves.
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