La rencontre, ce jeudi 14 novembre au Stade de France, de la Ligue des Nations, une compétition “ce qui n’intéresse pas grand monde” selon le Corriere della Sera, entre la France et Israël se déroule dans un contexte particulièrement tendu compte tenu de la guerre à Gaza et au Liban.
En effet, la semaine dernière, des supporters israéliens ont été la cible de violences en marge d’un match à Amsterdam. En réponse à cela, et plutôt que d’annuler la réunion, “le gouvernement français en a profité pour montrer que la France ne céderait pas à l’antisémitisme”, explique le journal italien.
«Envoyer un message de fraternité et de solidarité»
Le Frankfurter Allgemeine Zeitung fait également état de la volonté du ministre français de l’Intérieur de maintenir l’événement sportif au Stade de France, le Parc des Princes ayant notamment été évoqué comme une alternative plus petite. Bruno Détailleau « a refusé de céder à la menace qui pèse sur la sécurité des partisans juifs », commente le journal conservateur allemand.
Malgré tout, l’enceinte ne sera pas totalement remplie. Seulement 20 000 des 80 000 sièges environ ont été mis en vente. Et même si Emmanuel Macron lui-même a annoncé vouloir assister à la réunion pour “e
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