Au club depuis août 2019, Jonathan Gradit est un vétéran du vestiaire du Racing Club de Lens. Il est arrivé quand le club était en Ligue 2, a connu la remontée, l’ambiance des derbys, la Ligue des Champions. Alors, samedi, il sait que jouer à domicile peut peser sur le match.
De ses 163 matches en Sang et Or, Jonathan Gradit a réalisé des matchs mémorables depuis son arrivée. Et si celles-ci sont ancrées dans sa mémoire, c’est surtout grâce à l’ambiance. « Le public nous écoute constamment. Il y a différents matchs, différentes ambiances aussi »introduit-il avant de donner sa préférence sur certains types de matchs : « Par exemple, je préfère jouer le soir à 21 heures Je trouve qu’il y a une différence entre jouer à Bollaert à 15h ou à 21h Des matchs comme Lille, comme Arsenal, comme le PSV par exemple la saison dernière, ce sont des matchs avec une autre ambiance et une autre ambiance. »
Dans une saison, il y a forcément des rencontres particulières pour un club et le défenseur de 31 ans le sait bien : « Même si nous sommes poussés, nous le savons, à chaque match. Celui-ci est un match spécial pour les supporters. Ils sont là très souvent tôt au stade. On sent que c’est un match différent pour eux et pour nous aussi au final. »
Le planning joue son rôle
Alors pour sa sixième saison au club, le natif de Talence ne boude pas son plaisir d’être à Bollaert : « Il y a eu des évolutions, cela dépendait des matchs. Il y a eu des matchs où ce furent des moments vraiment mémorables. Après, je pense qu’il y a aussi le calendrier qui fait que l’ambiance peut être différente. Mais globalement, on est quand même très bien servis au club. Nous n’allons pas être exigeants. C’est vrai que dans ce club, beaucoup de joueurs rêveraient d’être ici et de vivre des émotions comme celles que l’on vit à Bollaert. » Et nul doute que samedi il y aura de nouvelles émotions qui resteront mémorables.
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