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Les étranges mémoires de Melania Trump sortent ce mardi

Si Melania Trump est restée dans l’ombre lors du premier mandat présidentiel de son mari, elle est sur le point de lui voler la vedette, à un mois du scrutin. L’ancienne première dame est en effet sortie de sa réserve ces derniers temps, accordant volontiers des interviews et délivrant des confidences insolites. Plus qu’un signe de soutien à son illustre époux, c’est avant tout pour assurer la promotion de ses Mémoires que Melania Trump a accepté d’entrer en lumière. « Melania », qui sort ce mardi en librairie, contient des révélations surprenantes, parfois carrément lunaires, que la presse américaine a pu consulter. Voici une anthologie.

Melania Trump révèle qu’elle soutient fermement le droit à l’avortement, prenant le contrepied de son mari. Une prise de position inattendue sur un sujet brûlant pour la présidentielle. « Pourquoi quelqu’un d’autre que la femme elle-même devrait-elle avoir le pouvoir de déterminer ce qu’elle fait de son corps ? Le droit fondamental à la liberté individuelle dont dispose une femme (…) lui donne le pouvoir d’interrompre sa grossesse si elle le souhaite », écrit l’ancienne première dame.

L’épouse de Donald Trump revient sur sa visite en Arabie saoudite en 2018, au cours de laquelle elle a rencontré le roi Salmane. Et si l’on en croit son histoire, Mélania a beaucoup plu à son interlocuteur : « On m’a prévenu que ce n’était pas dans la tradition musulmane de serrer la main des femmes et que le roi risquait de ne pas répondre. prolongez cette courtoisie. Pourtant, lorsque nous nous sommes rencontrés, non seulement il m’a serré la main, mais il l’a embrassée ! C’était un début prometteur ! s’enthousiasme l’auteur.

Bizarrement, aucune photo ou vidéo n’atteste les déclarations du quinquagénaire, mais Donald Trump a livré la même version des faits lors d’une collecte de fonds en 2018.

Melania Trump évoque également sa rencontre avec Elizabeth II, qui lui a servi son thé en compagnie de ses corgis. Elle affirme également entretenir une relation épistolaire de longue date avec le roi Charles III, qu’elle a rencontré en 2005 à New York. « Nous nous écrivons encore maintenant », dit-elle.

L’ancienne première dame revient sur sa rencontre avec le pape François en 2017 au Vatican. A cette occasion, elle avait apporté un chapelet à bénir « comme symbole de ma foi et de mon mariage ». Le pape demande alors à Mélanie, en parlant de son mari : « Avec quoi le nourrissez-vous ? De la piste?» « N’ayant pas bien entendu, j’ai répondu : « Oui, une pizza ! Et puis j’ai réalisé qu’il me parlait de pistele plat traditionnel slovène », explique Melania Trump.

L’épouse de Donald Trump raconte avoir rencontré un petit problème diplomatique lors d’une visite au Japon en 2019 : il y avait des sushis au menu. “Je leur ai fait savoir que je ne mange pas de poisson cru”, écrit l’auteure, qui ajoute qu’on lui a ensuite servi un menu contenant “le meilleur de la cuisine japonaise”. Cependant, selon « The Independent », le célèbre repas traditionnel était composé de pommes de terre au four, de salade, de poulet grillé et de wagyu.

Quant à sa jeunesse derrière le rideau de fer, Melania Trump la décrit comme bien moins austère qu’on pourrait le penser. Sa famille appréciait les voyages en Italie, les courses de Formule 1, les voyages de ski dans les Alpes et un concert d’Elton John. Elle parle également d’une flotte de voitures de luxe et des récits de sa mère sur ses voyages à Paris et dans d’autres capitales européennes. Elle réfute les descriptions de son enfance sous le régime communiste comme étant « sombre », affirmant qu’elle était heureuse et joyeuse et qu’elle a commencé le mannequinat à l’âge de 6 ans.

 
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