La première est Julia Leedselle accuse l’ancien président de l’avoir embrassée sans qu’elle le veuille et de lui avoir mis les mains partout dans un avion en 1979.
La deuxième est Natasha Stoynoff.. En 2005, elle est journaliste au magazine Personnes et elle est envoyée à Mar a Lago, la résidence Trump à Palm Beach, en Floride. Le couple est marié depuis un an, Melania Trump est enceinte de 7 mois. Natasha Stoynoff raconte la suite dans ce nouveau clip :
” A un moment, Melania monte se changer et Trump me dit ” Je veux te montrer un tableau, très beau, dans une jolie chambre… Quand on arrive dans la chambre, il me plaque contre le mur et commence à m’embrasser. par la force. J’ai essayé de le repousser, je ne pouvais rien faire. Dieu merci, un majordome est soudainement entré. Donald Trump est un agresseur sexuel qui a été jugé, nous ne pouvons pas élire cet homme président. »
Donald Trump a bel et bien été jugé et reconnu coupable d’agression sexuelledans un autre cas, l’année dernière. Des dizaines de femmes l’ont déjà accusé. Il l’a toujours nié, un de ses arguments favoris : “Je n’aurais jamais essayé avec elle, ce n’est pas mon genre.”
Ce n’est pas la première fois que deux femmes parlent
Julia Leeds et Natasha Stoynoff révèlent leur histoire en 2016, lors de la première campagne présidentielle de Donald Trump. Ils ne portent pas plainte mais ils parlent et cela ne plaît pas du tout à certains fanatiques du candidat républicain, cela est allé jusqu’aux menaces de mort, explique Natasha. Alors pourquoi s’exposer encore aujourd’hui, répond-elle sur CNN :
« Je prends un risque en prenant la parole mais je pense que s’il est élu, le risque que prend le pays est bien plus grand. Et selon moi : m’exprimer à nouveau peut faire la différence. Il y a quelques semaines, dans le Montana, en seulement 10 minutes en taxi, j’ai convaincu un électeur de modifier son vote… et c’était un trumpiste pur et dur ! »
De son côté, s’il est élu, Donald Trump promet aux Américaines, je cite : “Vous ne serez plus abandonnées, plus seules, vous n’aurez plus peur, vous ne serez plus en danger, vous ne souffrirez plus”. de « l’anxiété à cause de tous les problèmes auxquels le pays doit faire face », il sera, je cite toujours, « leur protecteur ». Ce à quoi Natasha Stoynoff rétorque : « ce n’est pas un protecteur, c’est un prédateur ».
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