Ce seizième album du producteur, chanteur et auteur-compositeur sérésien se veut une nouvelle fois instrumental.
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Journaliste au service de la Culture
Par Thierry ColjonPublié le 10/01/2024 à 13h55
Temps de lecture : 1 min
Freaksville. Le 10 octobre au Botanique.
Le fondateur du label Freaksville, entre Miam Monster Miam et Benjamin Schoos aux disques solos et nombreuses collaborations, a déjà tout fait. Mais ces derniers temps, la musique de film (notamment pour Olivier Monssens) et la mélancolie pianistique ont clairement pris le dessus. Comme il l’avait déjà fait pour son précédent La note d’amour en 2021, il nous revient avec neuf morceaux instrumentaux pour piano et synthés, dont un titre titulaire qui ressemble encore beaucoup à Saint-Jean-Cap-Ferrat par Doowy. On se laisse emporter sans hésiter par ces ambiances atmosphériques très romantiques que ne renieraient pas Yann Tiersen ou Chilly Gonzales. Le rêve et (le chemin direct vers) la mélancolie servent finalement des mélodies très pop.
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