Milan « espère un miracle » pour mettre fin à la « guerre totale » avec deux parias

L’AC Milan n’a toujours pas trouvé de solution pour Divock Origi et Fode Ballo-Touré, la Turquie représentant la « dernière chance » de mettre fin à une « guerre totale » selon un rapport.

La Gazzetta dello Sport rapporte que désormais la possibilité de passer à la riche Pro League saoudienne s’est évaporée et que d’autres ligues européennes d’un certain niveau (le Portugal et les Pays-Bas, par exemple) ont fermé leurs portes hier aux agents non libres, Origi et Ballo-Touré étant dans les limbes.

En fait, les deux hommes sont de plus en plus proches de rester à Milan toute la saison (ou au moins jusqu’en janvier). Zlatan Ibrahimovic a clairement indiqué en conférence de presse qu’ils s’entraîneraient avec l’équipe de Futuro, un transfert qui n’a pas eu l’effet escompté et qui les a poussés vers un départ.

Il y a même eu un jour où Origi s’est présenté à Milanello et il a été le seul à le faire. Ayant compris les plans du club (s’entraîner avec les moins de 23 ans), il est immédiatement parti avec le feu vert du club.

Milan a signé un contrat de quatre ans d’une valeur de 4,5 millions d’euros nets par saison avec le Belge. Il a disputé 36 matches et marqué deux buts lors de sa première saison avec les Rossoneri, puis a été prêté à Nottingham Forest avant de revenir.

Le marché turc reste une option, devenue plus attractive grâce à la présence d’entraîneurs (José Mourinho) et de joueurs (Victor Osimhen) d’un certain calibre. Jusqu’à présent, il n’y a cependant pas eu d’intérêt concentré pour Divock, seulement des demandes timides.

Pour Ballo-Touré, le marché est plus animé car il reçoit des offres. Un accord semble conclu avec Saint-Etienne, mais il refuse, ce qui provoque la colère du Milan. Il espère aller en Angleterre, où il sort également d’une expérience décevante avec Fulham, mais rien ne se passe.

En Turquie, le marché ferme le 13 septembre et il est encore temps. La direction milanaise « espère un miracle pour se libérer de ses salaires », mais si cela ne se produit pas, après la pause des équipes nationales, les deux resteront au moins jusqu’en janvier. La « guerre totale » continue.