Elle lance sa candidature au poste le plus élevé du parti un mois après avoir quitté le cabinet ministériel en raison d’une brouille avec le premier ministre Justin Trudeau.
Le lancement de sa campagne à Toronto intervient juste un jour avant l’assermentation du président élu des États-Unis, Donald Trump.
Mme Freeland tente d’utiliser son expérience de négociation réussie avec la première administration Trump pour se démarquer des autres prétendants à la direction, notamment l’ancien banquier central Mark Carney.
-La leader parlementaire du gouvernement, Karina Gould, a lancé sa propre campagne le même jour dans sa ville natale de Burlington, en Ontario, se positionnant comme la meilleure candidate pour reconstruire le parti.
Les candidats n’ont que jusqu’au 23 janvier pour déclarer leur candidature et entamer une série de paiements des frais d’inscription au parti afin de pouvoir rejoindre la course.
