Moins de deux semaines avant l’investiture du président élu, le PDG de Meta a publié une vidéo en forme de mea culpa où il regrette la « censure » sur Facebook et Instagram et promet de restaurer la liberté d’expression.
Moins de deux semaines avant l’investiture de Donald Trump, c’est la dernière initiative de Meta pour montrer ses lettres de créance à la future administration. La société mère de Facebook, Instagram et WhatsApp a annoncé mardi qu’elle mettait fin à son programme de vérification des faits. ” Nous allons supprimer les fact-checkers et les remplacer par des « community rating » similaires à celles de X, à commencer par les Etats-Unis. “, a déclaré Mark Zuckerberg dans un message sur les réseaux sociaux.
Facebook a mis en place en 2016, quelques mois seulement après la première élection de Donald Trump, un système de vérification par un tiers des informations partagées sur ses plateformes, désormais accessible dans plus de 60 langues. L’entreprise avait alors été accusée de contribuer à la diffusion de désinformation, notamment depuis l’étranger. Destiné à lutter contre les « fausses nouvelles », ce programme rémunère plus de 80 médias à travers le monde, dont l’Agence France Presse (AFP)…
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