VIDÉO – Invitée sur le plateau de « Buzz TV », Miss France 2025 est revenue sur son parcours professionnel et a partagé ses souvenirs de vols au sein de la compagnie Corsair.
Cela fait maintenant 24 jours que‘Angélique Angarni-Filopon a été élu Miss France 2025. Un nouveau rôle que cette hôtesse de l’air de 34 ans remplit avec fierté. “Je me sens bien, j’ai quand même mis une bonne dizaine de jours à réaliser», témoigne l’intéressé sur le plateau de « Buzz TV » ce lundi 7 janvier.Maintenant, quand je sors dans la rue et que je fais mes courses, on me reconnaît beaucoup. C’est fou», ajoute-t-elle.
Comme chaque année, les Miss élues sont hébergées par la société Miss France dans un appartement à Paris. Angélique Angarni-Filopon l’a découvert quelques jours après son élection. “Je m’y sens très bien, j’ai déjà tout refait, ma chambre notamment, je mets des bougies partout. J’ai tout nettoyé et remis à mon goût car je suis très pointilleux. Même si c’est très bien fait, je dois y retournerexplique-t-elle. J’ai acheté plein de petites choses : des coussins etc. C’est vrai que l’appartement est très beau.», se réjouit-elle encore.
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Pour pouvoir exercer son métier de Miss France, Angélique Angarni-Filopon a pris un congé sans solde de Corsair, la société où elle travaillait avant d’être sacrée. “Je les ai contactés hier et une décision a été prise entre la société Miss France et Corsair», explique-t-elle. Ainsi, si elle le souhaite, elle pourra reprendre sa place d’hôtesse de l’air après son règne. Mais le veut-elle vraiment ? “Je ne sais pas, je ne suis Miss que depuis 24 jours !», répond-elle en souriant, laissant le mystère planer.
J’ai hâte de retourner dans les locaux du Corsair pour fêter ma victoire autour d’un verre
Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025
Angélique Angarni-Filopon est toujours en bons termes avec son employeur. Le soir de son élection, Pascal de Izaguirre, le PDG de sa compagnie aérienne, lui a adressé plusieurs messages. “Il était à un mariage ce jour-là, il n’a pas pu venir. Et quand il a appris ma victoire, il a sauté de joie, me l’a-t-il dit. Il est vraiment fier de moi. J’ai hâte de retrouver les locaux de Corsair pour rencontrer mes collègues et fêter ma victoire autour d’un verre avec eux. M. de Izaguirre, j’ai encore du mal à l’appeler Pascal, est très content», déclare-t-elle.
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En cumulant plus de 1 500 heures de vol (essentiellement long-courrier) avec Corsair, le Martiniquais a tout un tas d’anecdotes à raconter. Elle en partage quelques-unes sur le plateau de « Buzz TV ». “Chaque vol a son expérience extraordinaireconfirme-t-elle. J’ai déjà vécu des turbulences absolument incroyables qui m’ont même fait peur. Il faut savoir que nous, hôtesses de l’air, n’avons pas peur des turbulences. Pour moi au contraire, ça m’endort, ça me berceindique-t-elle. Après, j’ai déjà dû changer à bord une femme de 80 ans. Et puis, lors de mon premier vol, j’ai laissé tomber du café très chaud sur un monsieur. J’ai voulu l’essuyer et sa femme m’a arraché le papier et m’a dit : « C’est bon, je vais le faire !», se souvient-elle en riant.
