A peine le réveillon du Nouvel An, la galette des rois nous tente déjà. Dans cette boulangerie de Saint-Sauveur, la leur a été élue meilleure galette de l’Oise 2025. Bonne texture et bonne crème, pour les clients, elle répond à tous les critères.
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Après les bûches de Noël, place à la galette des rois. AAu mois de janvier, elle devient la star des boulangeries. Celle de Saint-Sauveur a été sacrée meilleure crêpe de l’Oise cette année. Pour les clients qui l’ont déjà goûté, il répond à tous les critères. “La texture était très compacte, la couleur, le goût et aussi un très bon grain», énumère un client. “C’est principalement la pâte, il y a une bonne épaisseur de crème d’amande», poursuit un autre client.
Une récompense qui fait le business du commerce. Vendues entre 16 et 23 €, les crêpes primées partent comme des petits pains chauds. “J’ai même des Parisiens qui viennent chercher le gâteau et quand ils viennent en chercher un, parfois, ils viennent en chercher d’autres le lendemain ou deux-trois jours plus tard.», raconte Laetitia Vasseur, la vendeuse en boulangerie.
-En arrière-boutique, Désiré Kellens, boulanger depuis près de 20 ans, possède la recette gagnante. Son secret pour une bonne frangipane, c’est de s’en tenir à l’essentiel. “Beurre, sucre, poudre d’amandes, œufs, rhum, crème pâtissière, ce n’est pas plus compliqué que ça, c’est juste le temps qu’il faut et et voilà», sourit-il.
Pour le boulanger, lauréat du concours de la meilleure crêpe aux amandes de l’Oise 2025, il faut des ingrédients simples et du temps.
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Eliminé lors de sa première participation au concours, il a suivi une formation pour apprendre à maîtriser un élément clé : le laminage, qui nécessite jusqu’à trois jours de travail. “Pour avoir une bonne pâte feuilletée, il faut du temps au frigo, toutes les petites étapes intermédiaires se font au froid. Cela garantit que la stratification ne se déforme pas», explique le boulanger.
Un savoir-faire qu’il continue de perfectionner en vue du concours régional qui se tiendra dans l’Oise en avril prochain.
Edité par Eline Erzilbengoa / FTV
