Si Juraj Slafkovsky pense comme son entraîneur, il ne demandera pas conseil aux médias. Pour quoi? Parce qu’il n’accepte pas leurs critiques.
Lorsqu’on lui a demandé aujourd’hui s’il avait écouté les critiques des médias, il a répondu non, dans la mesure du possible.
En fait, il a dit qu’il ne se souciait pas de ce que les médias montréalais disaient de lui puisque, à ses yeux, cela va trop loin d’un côté ou de l’autre. Donc il ne les prend pas au sérieux.
J’ai deux bons matches, tout est parfait. J’ai deux mauvais matches, tout va mal. –Jouraj Slavkovsky
C’est Montréal.
Même s’il est parfois gêné par certains commentaires, il essaie de mettre cela de côté pour tenter de faire ce qu’il peut pour redevenir le joueur qu’il était l’an dernier dans la seconde partie de saison.
Car en réalité, Slaf se cherche.
Il n’est pas sûr de ce qu’il fait différemment pour s’assurer que les résultats ne soient pas les mêmes que l’an dernier, mais il dit qu’il travaille toujours dur pour y arriver.
On pourrait penser que le fait qu’il soit en couple change la donne, mais il ne le dira évidemment pas publiquement. Et nous ne savons pas non plus ce qu’il en pense, au fond.
Évidemment, on sait que Slaf a une certaine arrogance (sa relation avec les médias slovaques le démontre) et avoir reçu aujourd’hui une telle question lui permet de le souligner. Slaf est plus humble quand les questions challenger le joueur, comme nous l’avons récemment remarqué.
En rafale
– Kirby Dach : Nick Suzuki ne perd pas confiance.
– C’est comme le Canadien. #VieuxPas
– À suivre.