Rappelons l’essentiel. Emmanuel Macron a ruiné le pays et délègue l’épuration au gouvernement de Michel Barnier. Dans sa proposition budgétaire initiale, le Premier ministre n’a pas tenu ses promesses de ne pas augmenter les impôts, de s’attaquer aux mauvaises dépenses publiques et de relancer la croissance. Augmentation des taxes sur l’électricité, augmentation de la contribution française au budget de l’Union européenne, augmentation des dépenses de soins gratuits réservés aux immigrés clandestins (via l’aide médicale d’État), augmentation du coût du travail, etc. Dans sa proposition initiale, le budget du gouvernement ne pouvait être voté. Dans sa version issue des débats et des travaux parlementaires, elle n’a pas non plus pu être votée, car les députés d’extrême gauche ont augmenté par amendement les taxes de plusieurs dizaines de milliards d’euros au détriment des Français et des TPE-PME : taxe sur les bouteilles d’eau. , taxe sur les ascenseurs, taxe sur le carburant des pêcheurs, taxe sur l’eau touristique, taxe sur l’assurance-vie, etc…. Face à cette folie fiscale d’extrême gauche, la Macronie et les LR de Laurent Wauquiez ont déserté le travail parlementaire. Les Français peuvent compter sur les députés RN : grâce à notre présence massive, seul le RN a bloqué une partie des impôts fous de l’extrême gauche. Seul le RN a obtenu des victoires politiques (contre l’augmentation des taxes sur l’électricité, la contribution française au budget de l’UE, etc.). Seul le RN a présenté un contre-budget cohérent permettant d’économiser sur le millefeuille administratif, l’immigration, la fraude fiscale et sociale, et de rendre aux Français leur argent.
Comme nous l’avons toujours dit, nous restons libres de censurer le gouvernement si ses décisions aggravent la situation sécuritaire, migratoire et sociale du pays. En voulant concentrer tous les efforts sur la France qui travaille, sur les retraités les plus précaires et sur nos entreprises, le gouvernement emprunte la voie de la censure. La balle est dans son camp : il doit entendre les revendications de nos électeurs pour éviter la censure.
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