Dans la course au marché de la voiture électrique, Renault semble déterminé à réduire la facture pour attirer les consommateurs, selon un récent communiqué.
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Publié le 1er juillet 2024, ce document évoque pour la première fois l’intégration de la technologie des batteries LFP (lithium fer phosphate) aux côtés des solutions NMC (nickel manganèse cobalt) chez Ampere, la filiale du groupe dédiée aux véhicules électriques.
Renault explique également avoir développé avec LG la technologie Cell-to-Pack.Le cell-to-pack permettra d’intégrer davantage de cellules dans un espace donné, améliorant ainsi l’autonomie des véhicules équipés de LFP. Une façon de contourner le défaut de la densité énergétique plus faible», précise Automobile Propre.
Pour Renault, l’introduction de ces deux technologies constituerait un gros plus côté production. Le groupe parle en effet d’une réduction de 20% du coût des batteries dès le début 2026 grâce à cette dernière. On peut donc s’attendre à ce que les Twingo et R5 électriques en bénéficient.
En bonus, on apprend que le processus de production est 100% européen grâce à «quatre partenaires leaders dans le domaine des batteries” :
- AESC, implanté au plus près du site Ampere ElectriCity à Douai (France), pour les batteries NMC
- CATL pour la technologie LFP, depuis son usine en Hongrie
- LG Energy Solution s’implante en Pologne, pour les technologies NMC et LFP
- Verkor, pour la technologie NMC de sa gigafactory de Dunkerque (France)