DIRECT. Le dernier adieu au chanteur martiniquais Paulo Albin

DIRECT. Le dernier adieu au chanteur martiniquais Paulo Albin
DIRECT. Le dernier adieu au chanteur martiniquais Paulo Albin

Après une longue veillée populaire à la salle de sport Robert, les obsèques de la star Paulo Albin auront lieu ce samedi 23 novembre 2024 à l’église de sa ville natale. Le chanteur, décédé mardi dernier à l’âge de 78 ans, restera pendant plusieurs générations l’icône du groupe Perfecta. (Suivez ses obsèques en direct dans cet article).

Plusieurs milliers de personnes ont assisté aux funérailles de Jean-Paul Albin (vendredi 22 novembre) à la salle des sports de la Mansarde au Robert, sa ville natale.

Entre 15 heures et 23 heures, des fans, des personnalités artistiques, politiques, de la société civile et anonymes ont défilé devant la dépouille du chanteur bien-aimé de l’orchestre La Perfacta.

type="image/webp"> type="image/jpeg">>>
La chanteuse star de Kassav Jocelyne Béroard devant la dépouille de Paulo Albin (22 novembre 2024).

©Facebook Aimeriez-vous Robert / DR

Par hasard du calendrier, la veillée de Paulo a eu lieu le jour de Sainte Cécile, saint patron des musiciens, compositeurs, luthiers, chanteurs et poètes.

type="image/webp"> type="image/jpeg">
>
>
Serge Letchimy, président du conseil exécutif de la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM), devant le cercueil de Paulo Albin, en compagnie du chanteur et producteur, Michel Linérol (22 novembre 2024).

©Facebook Aimeriez-vous Robert / DR

Plusieurs prises de parole ont marqué la soirée, dont celles de proches de l’artiste.

Au sein de la famille, nous admirions son talent et étions toujours ses premiers fans. Sa joie de vivre était contagieuse (…). Il fut un exemple pour ses nombreux neveux et nièces, filleuls et cousins ​​(…). C’était un grand homme.

Extrait de l’hommage rendu par la famille

L’ancien maire Alfred Monthieux a rendu hommage à la mémoire de son “ami d’enfance” évoquant les années de pension partagée à Sainte-Thérèse, à Fort-de-, lorsqu’ils étaient tous deux lycéens.

Paulo Albin est également conseiller municipal depuis le mandat de feu Édouard Delépine (également ancien maire de Robert). L’actuel président du conseil, Farell François-Augrin, a pour sa part qualifié le chanteur de “phénomène”.

Nous devrons honorer Paulo à travers un espace dans la ville. Farell François-Augrin

C’est une véritable figure de la musique martiniquaise et antillaise avec une énorme longévité aujourd’hui disparue.

???????????? ???????????????????????? – P????é???????????????????????? du Conseil Régional de Guadeloupe

Chanteur du groupe mythique La Perfecta, Paulo ALBIN, considéré comme l’une des plus belles voix du répertoire antillais, a largement contribué au succès du groupe martiniquais depuis les années 1970. Son nom reste lié aux hits.

Guy Losbar – président du Conseil Départemental de Guadeloupe

Les souvenirs de Max Séverin, ex-animateur à RCI et ancien chanteur du groupe “Vickings de Guadeloupe”.

Max Séverin évoque ses souvenirs avec Paulo Albin


©Daniel BETIS

Maurice et Hermann Fléret a travaillé avec Paulo à Paris. Ils préparent un hommage à Perfecta qui sortira prochainement.

Mickaêl Fléret se souvient du chanteur à Paris


©Daniel BETIS

Le chanteur et auteur Jean-Paul Paulo Albin fait partie du groupe de jeunes talents chez Robert, avec le bassiste Tayalay, le trompettiste Ti Gus Nodin puis un autre chanteur, Jojo Lise, qui rejoint un temps en 1967-68, le jeune TIPICO groupe créé à Trinidad deux ans plus tôt par Raoul Charron et Marie-Jo Prajet. Ils m’ont demandé de jouer du piano, avant de me lancer dans d’autres activités. A partir de ce moment, j’étais convaincu de son succès futur, de ses qualités non seulement de musicien mais de personne capable de réunir les énergies avec l’amour du public qu’il voulait constamment satisfaire.

Yves Marie Séraline – president of OMDAC

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV DIRECT. Le Stade Toulousain mène 15 à 14 face à l’USAP, suivez le match de Top 14 en direct
NEXT Acheter un robot aspirateur, c’est maintenant, oui, mais à quel prix ?