8 000 volailles périssent dans un incendie dans l’est du Loiret, une difficulté pour l’éleveur qui « luttait déjà pour survivre »

8 000 volailles périssent dans un incendie dans l’est du Loiret, une difficulté pour l’éleveur qui « luttait déjà pour survivre »
8 000 volailles périssent dans un incendie dans l’est du Loiret, une difficulté pour l’éleveur qui « luttait déjà pour survivre »

Dans la nuit du 2 au 3 novembre, un incendie se déclare dans un bâtiment agricole à Villemoutiers, dans le Loiret. Un coup dur pour l’éleveur qui a perdu 8 000 poulets élevés en liberté.

Les essentiels du jour : notre sélection exclusive

Chaque jour, notre rédaction vous réserve la meilleure actualité régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en contact avec vos régions.

Télévisions utilise votre adresse email pour vous envoyer la newsletter « Les incontournables du jour : notre sélection exclusive ». Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien présent en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Au petit matin, il ne restait plus qu’un tas de tôles et quelques traces de poulets calcinés. Dans la nuit du 2 au 3 novembre 2024, un incendie se déclare dans un élevage de volailles à Villemoutiers, dans le Loiret. Les 8 000 poulets élevés en liberté hébergés dans le hangar n’ont pas survécu. Une difficulté supplémentaire pour l’éleveur qui avait «déjà du mal à vivre« .

En pleine nuit, c’est depuis la D2160 que 3 étudiants infirmiers ont aperçu des flammes dans un bâtiment agricole à Villemoutiers. Les jeunes femmes se sont rendues sur place et ont alerté les pompiers vers 2h30 du matin.

Immédiatement, le Service Départemental d’Incendie et de Secours a mobilisé 2 lances à incendie et 16 pompiers. Mais au moment où nous sommes arrivés sur place, le hangar s’était déjà effondré. Il a encore fallu attendre vers cinq heures du matin pour que les secours éteignent les flammes.

Pour l’éleveur, la perte de ces 8 000 poulets élevés en liberté est un coup dur. La volaille avait fêté ses 17 ans jour sur les 75 jours de reproduction habituellement. Si les circonstances ne sont pas encore déterminées, l’éleveur assume un problème lié au gaz ou à l’électricité.

Outre les animaux, cela signifie également la perte de matériel et de nourriture pour l’agriculteur. Malgré l’espoir que l’assurance couvrira quelques milliers d’euros des dégâts, l’éleveur craint que toutes ses pertes ne soient pas remboursées, confie-t-il à France 3. Une difficulté supplémentaire pour lui dans un contexte déjà économique. compliqué.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Alfredo Morelos défend vigoureusement Efraín Juárez : déclarations fortes
NEXT Prise en charge de la PS5 Pro et autres nouvelles fonctionnalités ajoutées avec la mise à jour 1.54 de novembre 2024