Le Forum des familles d’otages a déposé samedi soir une demande pour se joindre à la demande de levée de l’interdiction de publication sur le dossier de sécurité, qui aborderait également la question de la faisabilité d’un accord pour le retour des otages.
Dans la requête soumise au tribunal, il est écrit : « L’intérêt du Comité, en tant qu’organisation regroupant de nombreuses familles d’otages, prime sur tout intérêt général du public à lever l’interdiction de publication, dans la mesure où il y a quelque chose en jeu. » la publication qui pourrait être pertinente sur cette question sensible. Il s’agit donc d’un intérêt primordial qui doit être mis en balance avec toutes les autres considérations. Notre seule demande est d’être entendu et de soutenir toute demande de divulgation. documents susceptibles d’éclairer les négociations en vue de la libération des otages ou l’opposition à leur libération, ainsi que tous faits qui pourraient être pertinents, même indirectement.
« Nous assistons à une manipulation médiatique, dont certains ignorent le sort de ces otages et sabotent souvent les tentatives de les ramener. Par conséquent, s’il y a ne serait-ce qu’une once d’information dans le matériel interdit qui pourrait éclairer les négociations pour la libération des membres de nos familles, ou bien, sur les raisons du retard dans leur libération, les familles ont le droit de recevoir cette information dans son format approprié. l’intégralité et de ne pas dépendre uniquement des médias pour les vies humaines. en dépendent, la vie des otages ainsi que celle de leurs familles dont le cours de la vie s’est arrêté le 07.10.23 et dont tous les efforts sont depuis dirigés vers la libération de leurs proches», est-il également écrit.
Le Comité des familles déclare : « Alors que le sablier touche à sa fin, que nous entendons parler d’otages qui ont perdu la vie et que nous supposons qu’il y en a d’autres dont les jours sont comptés, chaque Cet élément d’information est d’une importance cruciale pour les familles, et non pour les familles. “seulement des informations concernant la possibilité de libération de leurs proches, mais aussi, malheureusement, toute information qui pourrait compromettre cette libération”, a également indiqué le Forum.
Jeudi dernier, des informations dei24NEWS a révélé qu’un porte-parole qui occupait des postes sensibles au sein du Cabinet du Premier ministre était soupçonné d’avoir commis des infractions à la sécurité de l’information dans l’exercice de ses fonctions. L’individu occupait un poste sensible malgré l’échec des tests d’habilitation de sécurité préalables – ce qui aurait dû lui interdire tout accès au bureau. En principe, cet employé n’aurait jamais dû avoir accès au contenu du bureau ni être exposé à des documents classifiés dans l’exercice de ses fonctions.