Samedi 2 novembre, le Hezbollah a revendiqué des tirs de roquettes menés dans la nuit de vendredi à samedi contre une base de renseignement militaire près de Tel-Aviv, dans le centre d’Israël. Combattants du Hezbollaha tiré une salve de roquettes sur la base de Glilot de l’unité de renseignement militaire 8200, dans la banlieue de Tel-Aviv.affirme le mouvement libanais dans un communiqué.
Il a également revendiqué plusieurs « fusée sauvée » dessiné « Samedi matin » sur des localités du nord d’Israël, notamment au nord de la ville de Safed. De son côté, l’armée israélienne a indiqué que des sirènes avaient été activées sur son territoire après l’arrivée de « cibles aériennes suspectes » du Liban. Suivez notre diffusion en direct.
Dix-neuf blessés dans le centre d’Israël. Lle ministère israélien des Affaires étrangères attribue cette frappe de Tira au Hezbollah, montrant sur X des images d’une explosion et d’un bâtiment partiellement vidé pendant la nuit. Selon la police israélienne, sur les 19 blessés hospitalisés, quatre ont subi des blessures modérées et les quinze autres ont été légèrement blessées.
Les États-Unis annoncent de nouveaux déploiements militaires au Moyen-Orient. Selon un communiqué de presse du Pentagone, ils arrivera “dans les mois à venir” pour le “défense d’Israël” et comme un avertissement à l’Iran. Ces renforts comprennent des défenses antimissiles balistiques, des avions de combat, des bombardiers B-52 et d’autres types d’avions militaires.
Le Liban accuse Israël de refuser une trêve après une série de frappes sur Beyrouth. Le fait qu’Israël « a une nouvelle fois ciblé la banlieue sud de Beyrouth » et mené « des raids destructeurs sont autant d’indicateurs qui confirment son refus de tous les efforts déployés pour obtenir un cessez-le-feu »» a déclaré vendredi le Premier ministre libanais Najib Mikati. Les frappes ont eu lieu quelques heures après la visite à Jérusalem de deux envoyés américains qui tentaient de négocier une issue aux guerres à Gaza et au Liban.