Céréales COT’Hebdo | L’amélioration des conditions climatiques dans le monde pèse sur les prix du blé tendre

Céréales COT’Hebdo | L’amélioration des conditions climatiques dans le monde pèse sur les prix du blé tendre
Céréales COT’Hebdo | L’amélioration des conditions climatiques dans le monde pèse sur les prix du blé tendre

LE prix le blé tendre a baissé entre les séances du 16 et du 23 octobre sur Euronext et le marcher la physique française, compte tenu de l’amélioration de conditions climatiques dans divers grands bassins de production mondial.

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Dans Russie et dans Ukrainede la précipitation les accueils sont tombés, permettant sols de réhumidifier, et ainsi favoriser conditions de semis. Par ailleurs, le températures plus doux que d’habitude en Russie permet actuellement d’élargir la fenêtre de décharges. Alors, il pleut s’est produit à ÉTATS-UNISfavorisant également les travaux de semis. LE exportations Les Russes restent très dynamiques sur la scène internationale, au point que les autorités locales recommandent une nouvelle fois prix minimum pour le appels d’offres public, soit 245 $/t FOB pour une livraison en novembre et 250 $/t FOB pour une livraison en décembre. Mais ils ne seraient pas respectés. Dans le temps plus sec permet également de progresser dans les semis. Les prochains jours devraient également être moins pluvieux, permettant une accélération des opérations. Du côté du marché, les primes évoluent encore peu. On note simplement une très légère hausse du prix des primes portuaires pour l’échéance de décembre. Et ce, afin de compenser quelque peu l’augmentation de l’écart de prix avec l’échéance de mars, qui s’affiche désormais à 10 €/t. Mais l’activité reste marginale. Là nutrition animale Hexagonal se positionne davantage sur l’échéance de décembre, afin de profiter de la faiblesse du niveau des valeurs par rapport à mars. A noter également un intérêt de la part des FAB belgo-néerlandais. L’activité dans moulin à farine s’avère être réduit. L’écart de prix croissant entre décembre et mars n’incite guère les vendeurs à se positionner.

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Sur le bassin du Seineles coûts de frette fluviale n’ayant pas évolué entre le 17 et le 24 octobre, les exécutions sont calmes en volume mais très complexes en pratique (problématique protéine, charançon, etc.). Nous rapportons toujours les périodes de chômage technique chez certains chargeurs du port de Rouen. Par l’exemple de Senaliale terminal portuaire de Rouen, qui a placé son équipe export Céréales au chômage technique depuis le 30 septembre, jusqu’à nouvel ordre. Les opérateurs ont du mal à faire travailler certaines personnes bateaux dédié à des charges spécifiques. « Nous passons notre temps à adapter et à changer nos routines pour intégrer sans cesse des « événements » imprévus, sans parler de la multiplication des contrôles administratifs sur les bateaux depuis les Jeux Olympiques »indique un spécialiste du transport fluvial. Ce dernier attend avec impatience les premiers chargements de mais pour relancer l’activité sur le voie navigable.

Sur le Rhinles tarifs sont également identiques à ceux de la semaine dernière, la rivière ayant été épargnée par d’éventuelles hautes eaux – compte tenu des récentes fortes précipitations – qui auraient pu pénaliser le navigation rivière.

Kévin Cler et Thierry Michel

Mais

Bons retours

Les prix de mais évolue dans des marges étroites entre le 16 et le 23 octobre, déchiré entre des éléments haussiers et baissiers. Les conditions de semis s’améliorent au Brésil grâce aux récentes pluies. De nouvelles pluies sont attendues dans les prochains jours. Aux États-Unis, la production devrait toujours être très bonne. Les silos sont pleins et les producteurs locaux se positionnent pour la vente. Il faut cependant rester attentif aux échos de la performance. La demande chinoise resterait discrète. Des ventes américaines significatives ont été annoncées dans la semaine, soutenant les valeurs du CBOT et par conséquent d’Euronext. Au niveau national, le climat moins humide permet de progresser dans les travaux de récolte. Les rendements seraient globalement bons à très bons. En termes d’activité, quelques cas ont été signalés, destinés aux FAB français, espagnols et italiens.

Orge fourragère

Légère hausse des primes portuaires

Les prix deorge fourragère a perdu du terrain entre le 16 et le 23 octobre sur le marché physique français, dans le sillage du blé tendre. On signale cependant une légère hausse du coût des primes portuaires, conséquence d’un bref regain d’intérêt des chargeurs. Mais dans l’ensemble, le marché reste calme.

Orge de brasserie

Hausse significative des prix lors de la récolte 2025

Les prix deorge de brasserie en récolte 2025 a nettement augmenté entre le 16 et le 23 octobre sur le marché physique français, gagnant une dizaine d’euros. Lors de la récolte 2024, les prix ont évolué dans une fourchette étroite selon les variétés et les marchés (FOB Creil, FOB Moselle). Le marché est peu animé, malgré quelques transactions signalées.

Blé dur

Baisse succincte des valeurs

Les citations de blé dur sont en légère baisse entre le 16 et le 23 octobre sur le marché physique français. Un courant de demande émanant d’Italie resterait présent.

La rédaction

 
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