Le Bel 20 termine la journée dans le rouge

Le Bel 20 termine la journée dans le rouge
Le Bel 20 termine la journée dans le rouge

La Bourse Paris a terminé en baisse de 0,40% et Francfort de 0,27%. Londres de son côté, elle a progressé significativement (+0,97%), profitant de la publication d’une inflation britannique inférieure à l’objectif de la Banque d’Angleterre (BoE) qui pourrait non seulement l’inciter à baisser ses taux en novembre, mais aussi motiver une nouvelle réduction en décembre. LE Bel 20 termine dans le rouge, à -0,21%.

L’avis des Brokers sur Greenyard, Proximus et AB Inbev :

Cour verte (-0,3% à 6 euros) est passé de « acheter » à « conserver » chez Berenberg, avec un objectif fixé à 6,35 euros. L’analyste a revu à la baisse ses attentes de bénéfices pour les années à venir, en raison d’une croissance “limitée” du chiffre d’affaires et d’une marge opérationnelle qui restera sous pression. « A plus long terme, souligne-t-il, la dette va continuer à diminuer, ce qui aura un impact favorable sur les charges d’intérêts. “Nous pensons que le titre est correctement valorisé à son niveau actuel.”

Suivant (+1,8% à 6,74 euros) a été récemment maintenu à « conserver » chez ING, l’objectif étant ajusté de 6,9 ​​à 6,1 euros. Cette révision prend en compte les accords récemment signés en Flandre pour le déploiement de son réseau de fibre optique, et la pression qui sera exercée sur les flux de trésorerie pour la période 2028 à 2030. L’analyste souligne également les nombreuses incertitudes qui pèsent actuellement sur le stock, notamment la pression concurrentielle liée à l’arrivée de Digi sur le marché belge.

AB Inbev (-0,9% à 59,92 euros) a vu son objectif de cours passer de 72 à 70 euros chez Bernstein Research, la recommandation étant maintenue à “surperformance”. A l’occasion de la publication d’un rapport sectoriel, l’analyste souligne voir un potentiel important pour les producteurs européens de bières et de spiritueux, en raison d’une valorisation parfois très déprimée. “Mais à court terme, nous voyons davantage de potentiel dans les groupes brassicoles.”

Adidas ne s’en remet pas

La hausse des prévisions annuelles pour la troisième fois consécutive pour l’équipementier sportif allemand Adidas n’a pas impressionné les marchés, qui s’attendaient à une révision encore plus optimiste. Le titre a perdu 6,26% à Francfort.

Son concurrent Puma gagne 3,6%.

Pétrole lent

Sur le marché pétrolier, les investisseurs restent préoccupés par la faiblesse de la demande mondiale et excluent le risque d’une escalade majeure du conflit entre Israël et l’Iran.

 
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