, vice-présidente potentielle de Trump, dit qu’elle a tué son animal de compagnie « impossible à dresser »

, vice-présidente potentielle de Trump, dit qu’elle a tué son animal de compagnie « impossible à dresser »
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Ce n’est pas vraiment une amie des animaux. La gouverneure du Dakota du Sud, , également candidate à la vice-présidence de Donald Trump, l’a raconté dans son livre « No Going Back : The Truth on What’s Wrong with Politics and How We Move America Forward » (Pas de retour en arrière : la vérité sur ce qui ne va pas en politique et comment nous faisons avancer l’Amérique)à paraître le 7 mai, après avoir elle-même tué son chien, qu’elle n’avait pas pu dresser.

Les bonnes pages du livre, qui n’a pas encore été publié, ont été révélées ce vendredi par le média britannique The Guardian et la polémique n’a cessé de prendre de l’ampleur depuis.

“Je détestais ce chien”

Cricket était une femelle braque à poil dur, âgée d’environ 14 mois, détaille le gouverneur du Dakota du Sud. Elle décrit également l’animal comme « impossible à dresser », « dangereux pour toute personne avec qui il entre en contact » et « sans valeur… en tant que chien de chasse ». «Je détestais ce chien», résume l’élu.

Kristi Noem raconte qu’elle l’a emmené chasser le faisan avec des chiens plus âgés pour tenter de la calmer mais l’animal, excité, aurait « chassé tous les oiseaux », malgré les tentatives de l’élu pour le contrôler.

Sur le chemin du retour, le chien a également dévoré les poules d’une famille avec qui Kristi Noem discutait et se serait “retourné pour (la) mordre” lorsqu’elle est intervenue pour l’arrêter, décrit-elle dans sa story. Après avoir envoyé un chèque à la famille endeuillée par la perte des volailles et contribué à « se débarrasser des carcasses », l’élue a alors pris la décision de se débarrasser également de son animal, âgé d’un peu plus d’un an. .

Une chèvre et trois chevaux également éliminés

Toujours dans son travail, elle dit avoir saisi son arme et emmené Cricket dans une gravière, où elle l’a tué en lui tirant dessus. « Ce n’était pas un travail agréable mais il fallait le faire », écrit-elle encore.

Selon les révélations du Guardian, elle décrit avoir également tué une chèvre le même jour et avec le même modus operandi. Pour justifier son travail, l’élue a qualifié la chèvre de «méchante» et malodorante, «dégoûtante, musquée, rance». L’animal a également été accusé d’avoir chargé ses enfants, de les renverser et d’endommager leurs vêtements. L’élu de 52 ans a d’abord raté l’animal du premier coup, permettant à la chèvre de s’échapper, avant de tirer à nouveau, sous les yeux des ouvriers témoins de la scène.

Kristi Noem, qui pensait, en racontant ces deux histoires, convaincre ses lecteurs de sa capacité à faire des choses « difficiles, laides » si nécessaire, et transformer cela en narration à son avantage, se retrouve désormais au cœur d’une polémique, de telles déclarations ayant choqué certains Américains et associations de défense des animaux.

La candidate à la vice-présidence de Donald Trump a réagi à la polémique en expliquant qu’elle avait également récemment tué trois chevaux qui appartenaient à la famille depuis 25 ans. « Des décisions difficiles comme celle-là arrivent tout le temps dans une ferme », défend celle qui dit « aimer les animaux ».

 
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