Aperçu Cet univers de science-fiction post-apocalyptique est plus immersif que jamais ! J’ai joué à Metro Awakening et c’était terrifiant

Aperçu Cet univers de science-fiction post-apocalyptique est plus immersif que jamais ! J’ai joué à Metro Awakening et c’était terrifiant
Aperçu Cet univers de science-fiction post-apocalyptique est plus immersif que jamais ! J’ai joué à Metro Awakening et c’était terrifiant

Aperçu Cet univers de science-fiction post-apocalyptique est plus immersif que jamais ! J’ai joué à Metro Awakening et c’était terrifiant

Publié le 25/09/2024 à 10h00

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Le post-apocalyptique est à l’honneur à la gamescom 2024. Aux côtés de Dying Light : The Beast et STALKER 2 : Heart of Chornobyl se dresse une autre franchise phare du genre. L’univers Metro accueille cette année un spin-off faisant office de préquelle à la série principale. Metro : Awakening entend immerger les joueurs dans un monde toujours plus réaliste. L’expérience VR imaginée par Vertigo Games s’annonce totale.

Conditions d’aperçu

Vertigo Games s’est présenté à la gamescom 2024 avec une première version jouable de Metro : Awakening. Après un tutoriel spécialement conçu pour le salon allemand, la rédaction de JV s’est aventurée pendant plus de 30 minutes sur PC avec le casque PSVR2 dans les méandres de ce FPS d’horreur.

Une préquelle à la trilogie « Metro »

La franchise Metro développée entre 2010 et 2019 par 4A Games adapte la série de romans écrits par Dmitry Glukhovsky. Cette dernière dépeint un futur apocalyptique où l’humanité est forcée de se réfugier dans le métro de Moscou suite à un holocauste nucléaire qui a rendu la vie humaine impossible à la surface. Metro : Awakening reprend ce décor atypique qui a enchanté les joueurs au cours de la dernière décennie, mais fait un bond dans le passé. En effet, Le FPS (First Person Shooter) de Vertigo Games débute en 2028, 5 ans avant les événements de Metro 2033, et sert de préquelle à la trilogie principale. Le protagoniste emblématique de la saga change également.

Le jeune soldat Artyom des premiers jeux laisse la place à Serdar, un médecin prêt à braver les ténèbres et tous les dangers – radiations, mutants, humains, etc. – dans l’espoir de retrouver sa femme et un remède pour la guérir. Pour atteindre ses objectifs, il va devoir prendre son courage à deux mains. C’est aux portes du désespoir que les héros se révèlent (ou périssent), et Serdar n’a pas l’intention de baisser les bras face à l’adversité.” Ainsi débute le voyage de Metro : Awakening au cœur du réseau du métro de Moscou. Point positif, il n’est pas nécessaire d’avoir survécu aux premiers jeux pour apprécier ce spin-off qui s’adresse autant aux fans qu’aux curieux.


La réalité virtuelle pour l’immersion

La réalité virtuelle n’a pas son pareil pour vous immerger dans un univers fictif. Une fois le casque VR (ici le PSVR2) placé devant vos yeux, vous êtes « prisonniers » de ce monde. Le réel s’efface alors pour ne laisser place qu’au virtuel. La technologie VR a fait des progrès incroyables ces dernières années, et Metro: Awakening en profite pleinement. Les graphismes sont saisissants de réalisme. Les environnements sont d’une finesse rarement rencontrée dans un jeu vidéo de ce genre, tout comme les mutants et autres humains qui hantent les tunnels du réseau souterrain.

Au-delà de ses prouesses techniques et graphiques, Metro : Awakening exploite toutes les possibilités offertes par la réalité virtuelle. Bien entendu, aucune interface ne vient gâcher l’immersion. La vraie vie en est dépourvue, celle de Metro également. Toutes les interactions avec le décor, les objets, l’équipement, etc. se veulent logiques et crédibles. Dégainer son arme, se soigner, grimper à une échelle se fait instinctivement au point de vous déconcerter tant cela semble naturel. Veritgo Games travaille dur pour effacer la fine ligne séparant notre réalité et celle de Metro, et c’est une belle réussite.

Cependant, vous devez être à l’aise avec le concept de réalité virtuelle et ne pas souffrir du « mal des transports » (une sensation de nausée provoquée par la réalité virtuelle) pour profiter pleinement de ce voyage de survie exigeant. La mort frappe souvent sans prévenir, et vous l’apprendrez à vos dépens. De plus, Aussi logiques et naturelles que soient les commandes d’Awakening, il faut un certain temps pour s’y habituer.surtout pour ceux qui n’ont jamais fait le saut vers la VR. Pour le reste, ce FPS reprend les fondamentaux de la licence, à savoir la survie, des affrontements sporadiques et une ambiance lugubre. Les fans seront en terrain connu avec Metro : Awakening.

Nos impressions

Metro : Awakening est tout ce que l’on attend d’un jeu vidéo en réalité virtuelle adaptant l’univers sombre et apocalyptique de la saga éponyme, ni plus, ni moins. Visuellement saisissant, le titre de Vertigo Games se démarque par sa capacité à vous plonger dans une aventure survivaliste totale. Ce FPS n’est peut-être pas innovant, mais il réussit tout ce qu’il entreprend. On a hâte de poursuivre notre périple moscovite en VR.

Opinion éditoriale

Prometteur

 
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