Décès pendant une dialyse, procès d’une infirmière, gang bang en guise de vengeance : 10 histoires judiciaires surprenantes

Décès pendant une dialyse, procès d’une infirmière, gang bang en guise de vengeance : 10 histoires judiciaires surprenantes
Décès pendant une dialyse, procès d’une infirmière, gang bang en guise de vengeance : 10 histoires judiciaires surprenantes

Souvent moquée par un groupe d’enfants suite à une dispute avec leurs parents, une femme a craqué. Au volant de sa voiture, elle a décidé de foncer vers les mineurs.Une petite fille est tombée, elle a été percutée par le véhicule, elle avait des égratignures sur tout le corps et avait très peur”affirme Lucie Leyder, avocate des parties civiles.

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Décès pendant une dialyse : une infirmière jugée pour homicide involontaire

Au service de dialyse, il est exactement 14h40 lorsque les médecins constatent le décès d’une patiente de 78 ans. Peu avant, la septuagénaire avait été préparée pour sa séance de dialyse et son état de santé ne laissait pas présager une fin de vie aussi brutale. L’hôpital semble en être responsable.

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Accro au jeu, il a réussi à soutirer 132 000 € à une dame sur Internet

Il travaille le jour, mais est accro au jeu la nuit. Il était tellement endetté qu’il a réussi à implorer la clémence des femmes sur les réseaux sociaux. L’une d’elles lui a versé un total de 132 000 € !

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Le prévenu organise un gang bang pour lui : « Je voulais lui faire une blague sérieuse »

Non content de ne pas avoir été payé pour les travaux effectués au domicile de sa cliente, ce peintre et décorateur a organisé pour elle un gang bang qui a dégénéré.

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Tentative de meurtre au couperet à viande à Profondeville

Une tentative de meurtre a eu lieu le 23 mai à Profondeville. La victime dit avoir été visée à la tête : elle s’est protégée avec son bras, qui a été coupé jusqu’à l’os. Elle a survécu grâce à un garrot que sa mère lui a posé.

Agression contre des policiers : « Il ne tenait plus debout et bavait »

Un habitant de la province de Hainaut de passage à Dinant s’est rebellé contre deux policiers de la zone Haute-Meuse, le 4 septembre 2023. Il les a également insultés.J’avais arrêté de boire de l’alcool en septembre 2019, mais j’avais déjà bu deux ou trois bières lors de soirées, sans conséquences. Mais le 4 septembre, j’ai fait une rechute alcoolique. J’ai bu du whisky et de la vodka. Selon mon médecin, la quantité d’alcool fort que j’ai consommée a fait réagir mon corps de manière complètement incontrôlable, ce qui explique mes problèmes de mémoire et la crise de panique que j’ai eue au commissariat. Depuis ce jour, j’ai compris que l’alcool m’était totalement interdit.

Les deux policiers, constitués parties civiles, ont néanmoins été blessés : l’un a été arrêté trois jours, l’autre deux semaines.


Mais quand même

Waterloo Lockdown Party : rendez-vous au tribunal le 1er octobre

L’histoire se répète. Pas de greffier, audience suspendue. L’examen du dossier du parti du confinement, ouvert le 25 janvier 2021, est à nouveau reporté.

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Le tribunal correctionnel du Brabant wallon paralysé par le manque de greffiers

Ce mardi, deux greffiers en formation ont été mobilisés pour agir sur le report de toutes les affaires inscrites au rôle. Les avocats ont exprimé leur soutien au tribunal confronté à ces problèmes, et ont suggéré que leur dossier soit reporté à une date ultérieure, pour être sûr que tout puisse être traité en une seule fois et dans de meilleures conditions.

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Un jeune homme se rebelle et se fait frapper par un policier

Un jeune homme est accusé de rébellion à la suite d’un contrôle de police. Selon le prévenu, les policiers « n’étaient pas dans une bonne journée ».

Le conducteur était sous l’emprise de l’alcool et du cannabis. S’il estime qu’un policier l’a frappé au visage sans raison, la version des faits donnée par la police est tout autre. On parle d’une rébellion.

Un homme a été condamné à quatre ans de prison pour incendie criminel près de Rochefort. Le prévenu avait déclenché l’incendie dans la nuit du 8 au 9 octobre 2023 car le locataire de l’appartement lui devait 100 euros. La veille au soir de l’incendie, le prévenu avait de nouveau réclamé cette somme et s’était montré menaçant.

« J’ai bu un verre et on s’est disputé »il l’a expliqué au tribunal.

 
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