Même s’il bénéficie de circonstances atténuantes, l’entraîneur croate fait moins bien que Carl Hoefkens et la plupart des entraîneurs qui l’ont précédé pendant environ 37 ans.
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Publié le 22/04/2024 à 12h16
Temps de lecture : 3 minutes
Depuis son arrivée au Standard, Ivan Leko bénéficie, aux yeux des observateurs, d’une certaine indulgence dans l’analyse des performances de son équipe, dont un entraîneur est généralement le premier responsable. Le passé du Croate, sportif et non extra-sportif, joue en sa faveur car dans pratiquement tous les clubs qu’il a fréquentés, l’ancien brugeois a toujours laissé une impression positive mais aussi, parfois, un trophée dans les placards : champion de Belgique avec le Club (2018), une Coupe de Belgique avec Anvers (2020) et une Coupe de Croatie avec Hajduk Split (2023). A Sclessin, Ivan Leko est arrivé lors du mercato hivernal et dans un contexte compliqué qu’il n’est plus nécessaire de détailler. Entre ses ambitions personnelles, celles qu’il veut imposer à son noyau et la réalité du terrain, il existe un écart énorme qui génère désormais des frustrations à tous les niveaux.
1 Les résultats : 33,3% de points pris avec le Standard, Leko n’avait jamais vécu ça
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