« Michelin mise sur le social plutôt que sur le sociétal »

« Michelin mise sur le social plutôt que sur le sociétal »
Descriptive text here

LA CHRONIQUE – Le groupe de Clermont-Ferrand a apporté une réponse personnalisée aux questions de société sur l’engagement politique des entreprises.

Jusqu’où l’entreprise doit-elle s’engager dans la ville ? La question est aussi vieille que le capitalisme. Ces dernières années, elle a pris une dimension explosive sur fond d’exacerbation des tensions identitaires. La tendance vient des États-Unis, où, sous la pression de la société civile, des centaines de grands groupes ont clamé leur soutien au mouvement Black Lives Matter, lancé après la mort d’un Afro-Américain aux mains d’un policier. blanc. Des dizaines d’autres personnes ont publiquement attaqué la décision de la Cour suprême de réviser les lois sur l’avortement, tandis que Coca-Cola et Delta ont critiqué la réforme de la loi électorale en Géorgie.

Les entreprises marquent ainsi leur grand retour dans l’histoire ! Mais à quel prix ? Loin de s’en féliciter, deux universitaires américains, Jill E. Fisch et Jeff Schwartz (1), démontrent que cet engagement politique nuit à la fois aux actionnaires des groupes et à la société dans son ensemble. Des chercheurs…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous en reste 78% à découvrir.

Voulez-vous en savoir plus?

Débloquez tous les objets immédiatement.

Déjà inscrit? Se connecter

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV L’Égypte annonce son soutien à la plainte pour génocide à Gaza déposée contre Israël à La Haye
NEXT Une centaine de personnes manifestent dans la capitale contre le transit du gaz russe