Charlotte Gainsbourg se confie sur les décès qui l’entourent

Charlotte Gainsbourg se confie sur les décès qui l’entourent
Descriptive text here

Publié le 19 avril 2024 à 11h36

type="image/webp">>

Charlotte Gainsbourg parle des morts autour d’elle – © Maréchal Aurore/ABACA

L’actrice a évoqué les épreuves difficiles de sa vie et notamment la perte de ses proches.

Charlotte Gainsbourg connaît l’épreuve du deuil. La fille de Serge Gainsbourg et Jane Birkin a fait part de ses sentiments face au décès de certains membres de sa famille lors d’un entretien croisé avec Charlotte Rampling avec le magazine “Madame Figaro”.

Au cours de sa vie, Charlotte Gainsbourg a dû dire au revoir à certains membres proches de sa famille. Une douloureuse épreuve à laquelle Charlotte Rampling dut également faire face en 1966 suite au décès de sa sœur Sarah. Charlotte Gainsbourg révèle alors : « J’ai trois absents. Ma sœur Kate, mon père, ma mère. Pendant toute la première partie de mon enfance, jusqu’à mes 9 ans, nous étions quatre. » Avant d’ajouter : « Aujourd’hui, parmi ces quatre, je suis le dernier. C’est très étrange. J’ai une vie intérieure avec eux. Je ne suis pas croyant ou quoi que ce soit, mais ma mort fait partie de moi. »

Lire aussi : Enfant star : Charlotte Gainsbourg, la succession unique de Jane Birkin et Serge Gainsbourg

Des étapes de la vie qui ont contribué à façonner l’actrice d’aujourd’hui selon Charlotte Rampling qui rebondit en affirmant : « Il faut trouver son chemin dans la vie à travers tout ça. Cette souffrance vous oblige soit à sombrer, soit à vous relever. » La sœur de Lou Doillon ajoute : « Faire émerger quelque chose. »

Une complicité silencieuse entre les deux femmes

Lors de cette même interview pour « Madame Figaro », Charlotte Gainsbourg et Charlotte Rampling ont expliqué qu’elles ne se connaissaient pas beaucoup, mais ressentaient une affinité « spontanée ». « Cela fait un moment que nous discutons et cela ne m’étonne pas que nous soyons d’accord sur tout », confie Charlotte Gainsbourg. Un lien invisible entre les deux femmes que Charlotte Rampling associe à Jane Birkin : « Et un lien, à travers Jane Birkin. J’ai débuté dans le même film qu’elle, « The Knack », de Richard Lester, en 1965, et, par la suite, nos chemins se sont toujours croisés… Ces dernières années, nous avons échangé des SMS. C’était une femme très généreuse : chaque fois qu’elle me voyait dans un film, elle m’envoyait un message. »

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Déclaration du secrétaire parlementaire à l’occasion de la Journée de la robe rouge
NEXT « Il est urgent de mettre en œuvre le projet de loi sur la cybersécurité »