« elle lève facilement le coude et est obligée de reprendre son fils, dans la rue et souffrant de maladie mentale »

« elle lève facilement le coude et est obligée de reprendre son fils, dans la rue et souffrant de maladie mentale »
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Une mère a été étranglée par son fils le 26 janvier 2023 à Walcourt. Elle a été frappée d’incapacité pendant 5 jours après l’incident. Né en 1993, l’auteur des faits a été condamné, par défaut, à un an de prison et 800 euros d’amende en décembre dernier. Il a déposé un recours devant le tribunal correctionnel de Dinant ce jeudi matin. «Ma mère avait bu. Elle réfléchissait et a prononcé ses mots contre moi. »explique le prévenu, accompagné d’un travailleur social et d’un éducateur du centre neuropsychiatrique Dave St-Martin, où il est actuellement en observation.

Cinq mois de détention préventive

Elle l’aurait également saisi par le cou. C’est pourquoi il a fait de même après l’avoir allongée sur son lit. “Si elle n’avait pas bu et n’était pas venue le déranger, monsieur ne serait pas là devant vous”, fait valoir Me Comps, qui demande également au tribunal de prendre en compte les 5 mois de détention préventive qu’a purgés son client. En ce sens, une simple suspension est demandée.

Le prévenu souffre de schizophrénie paranoïaque qui altère son discernement mais ne l’abolit pas. Cela signifie qu’il est responsable de ses actes. Le parquet de Namur penche pour une peine de 6 mois de prison, assortie d’un sursis probatoire. « On sent que ce contexte familial est lourd avec d’un côté une mère qui lève facilement le coude et de l’autre le fait qu’elle a été obligée de reprendre son fils, qui était à la rue et qui souffre en plus d’une maladie mentale. .’

Jugement le 16 mai.

 
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