Les sénateurs américains ont entendu mercredi les critiques des lanceurs d’alerte concernant la culture de sécurité de Boeing. Un constructeur qui, depuis les accidents de 2018 et 2019 et divers incidents en vol, a été contraint de revoir sa gouvernance. Une exigence soutenue par la FAA, le régulateur américain du secteur aérien.
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Journaliste au pôle Planète
Par Benoît JuilletPublié le 18/04/2024 à 14h13
Temps de lecture : 2 minutes
jeSi ce n’est pas Boeing, je n’y vais pas : le célèbre slogan de l’avionneur américain a fait des ravages, au point qu’au lieu de dire « si ce n’est pas Boeing, je n’y vais pas », certains pourraient au contraire penser que « si c’est Boeing, je n’y vais pas ». Je ne prends pas de risque ».
Événé par le New York Times, ce rapport critiquait « des problèmes de non-conformité dans le contrôle des procédés de fabrication, la manutention et le stockage des pièces ainsi que le contrôle des produits chez Boeing ». Le régulateur américain a exigé que Boeing présente dans un délai de trois mois un plan d’action visant à démontrer qu’il avait mis en œuvre les correctifs afin de revenir à de meilleures procédures de contrôle et de conformité en matière de sécurité. .
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