« J’ai eu un déclic. Depuis 25 ans, l’ADN de mon jeu est basé sur la régularité, un style bloqueur-défenseur. C’est ce qui m’a permis d’être classé 203e mondial et de disputer des tournois du Grand Chelem. Mais aujourd’hui, c’est aussi ce qui m’empêche d’aller plus loin. »

« J’ai eu un déclic. Depuis 25 ans, l’ADN de mon jeu est basé sur la régularité, un style bloqueur-défenseur. C’est ce qui m’a permis d’être classé 203e mondial et de disputer des tournois du Grand Chelem. Mais aujourd’hui, c’est aussi ce qui m’empêche d’aller plus loin. »
« J’ai eu un déclic. Depuis 25 ans, l’ADN de mon jeu est basé sur la régularité, un style bloqueur-défenseur. C’est ce qui m’a permis d’être classé 203e mondial et de disputer des tournois du Grand Chelem. Mais aujourd’hui, c’est aussi ce qui m’empêche d’aller plus loin. »

Retour à 287et classement mondial après avoir été 203et dans le monde entier au début de l’année et toujours 231et En plein cœur de l’été, Jules Marie se sent un peu déprimé ces dernières semaines.

Du coup, afin de mettre toutes les chances de son côté dans sa quête du top 200 mondial, le Français de 33 ans a décidé d’opter pour un nouveau style de jeu plus offensif et plus porté vers l’avant.

C’est du moins ce qu’il a dit sur son compte. Linkedin.

« J’ai eu un déclic. Depuis 25 ans, l’ADN de mon jeu est basé sur la régularité, un style bloqueur-défenseur. C’est ce qui m’a permis d’être 203et « J’ai toujours voulu faire partie de la 100% des meilleurs joueurs du monde et jouer des tournois du Grand Chelem. Mais aujourd’hui, c’est aussi ce qui m’empêche d’aller plus loin. J’ai pris conscience que pour franchir un nouveau cap, il allait falloir que je prenne plus de risques. Je dois faire évoluer mon jeu vers plus d’agressivité, ce qui va forcément me faire commettre plus d’erreurs – et c’est sans doute ce qui est le plus dur pour moi. De toute façon, je ne peux pas me permettre de courir autant contre des joueurs plus jeunes. À Cassis, j’y suis parvenu : en me fatiguant moins, en faisant plus de coups gagnants, et surtout en prenant beaucoup de plaisir sur le court. À Rennes, au premier tour, c’est ce qui m’a permis de gagner, malgré un match où j’étais mené et où j’ai dû défendre plusieurs balles de break. Aujourd’hui, je rentre en France après une mauvaise tournée aux USA. J’ai manqué de sensations et j’ai commis beaucoup trop d’erreurs. Déçu évidemment, mais je sais qu’il me faudra un temps d’adaptation. C’est dans ce sens que nous allons travailler ces prochaines semaines. »

Publié le mercredi 25 septembre 2024 à 13h58

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV dix chiffres pour mieux comprendre le tournoi de tennis qui animera l’Arena
NEXT « Les vibrations sont personnelles ! » Le président de la FFT Gilles Moretton accusé de propos sexistes